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L’appli Bordeaux en poche, pour avoir sa ville en main

Comment se rendre à la bibliothèque ou au parc du coin ? Quels sont les horaires de la mairie de quartier et les services qui y sont proposés ? A qui signaler un problème dans sa rue ou proposer d’installer un banc public ? Pour trouver les réponses à ces questions et d’autres encore, la …

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L’appli Bordeaux en poche, pour avoir sa ville en main

L'application Bordeaux en poche (capture d'écran)
L’application Bordeaux en poche (capture d’écran)

Comment se rendre à la bibliothèque ou au parc du coin ? Quels sont les horaires de la mairie de quartier et les services qui y sont proposés ? A qui signaler un problème dans sa rue ou proposer d’installer un banc public ? Pour trouver les réponses à ces questions et d’autres encore, la Ville de Bordeaux lance une application mobile, téléchargeable gratuitement  sur Google Play et Apple Store.

« Ce bouquet d’informations et de services est la toute première application avec des entrées par quartiers développée en France, assure Yann Mareschal, chef de projets numériques à la mairie. Elle permettra aux Bordelais et aux néo Bordelais de découvrir ou redécouvrir leur quartier, et leur donnera un nouvel outil pour échanger avec le maire, ses adjoints de quartier, et s’impliquer davantage, comme la nouvelle plateforme jeparticipe.bordeaux.fr. »

Développée en interne par les services de la Ville, pour un coût de 185000 euros, l’appli « Bordeaux en poche » devrait rapidement intégrer des fonctionnalités comme la géolocalisation ou une page de favoris. Elle s’inscrit dans la stratégie numérique « sans contact », qui permettra à terme de payer son stationnement ou de franchir les portillons de piscine sans passer par les guichets. Mais pour quel public ?

« L’application ne concerne bien sûr pas les personnes qui n’ont pas de smartphone connecté à internet, pour des raisons financières ou de choix personnel, poursuit Yann Mareschal. Mais selon les personnels municipaux que nous avons consulté, cela permet de libérer du temps à consacrer à ceux qui ont davantage besoin de médiation humaine ».


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