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30/04/2024
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Photo : F. Latreille/Wikipedia/CC
Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Dossier
Le Cercle est un lieu essentiel de la vie locale : commentez, réagissez, et construisez avec nous l’actualité.
on peut partager le diagnostic de la revue « Transports Urbains » qui, dans son dernier numéro avec un éditorial en l’honneur de Railcoop – « Ouverture du marché ferroviaire : que nous enseignent les déboires de Railcoop ? » – fustige une stratégie trop dispersée et dissipative en moyens financiers, avec la première tentative d’activité dans le fret finalement abandonnée…
https://www.cairn.info/revue-transports-urbains-2023-1-page-1.htm
si l’on s’escrime à considérer positivement cette expérience malheureuse on pourra toujours la voir comme un balisage pour une future tentative, où l’effort devra se concentrer sur cette ligne Bordeaux-Lyon, mais en orientant l’offre davantage vers le tourisme social, avec le concours des CCAS des villes concernées pour répondre au besoin de vacance (« insolvable » (?!)) des populations les plus démunies :
une véritable entreprise d’économie sociale et solidaire pourrait alors voir le jour, jusqu’à la contribution des départements et des bailleurs sociaux pour réserver quelques logements du parc social réhabilités et transformés en éléments d’un parc hôtelier solidaire :
ce serait faire la nique à la vieille dame rouillée qui à une certaine époque faisait la publicité dans ses gares et ses trains des principaux lieux touristiques du pays…
Voir plusPourquoi, s’il s’agit de sauver la planète, ne pas remettre en service les relais de poste et les diligences? Cette solution ne produit que très peu de CO2, et surtout n’oblige pas à entretenir des voies ferrées.
Les voies de chemin de fer artificialisent des surfaces considérables. Utilisent d’énormes quantités d’herbicides etc…
Le train pollue beaucoup trop, pour un service médiocre. Les partisans du train ont fait l’impasse sur l’invention du pneu, de l’automobile (symbole de liberté et de décentralisation), et ne semblent pas savoir qu’arrivent les véhicules automatiques, et même les drônes.
Le train est aux transports terrestres ce que furent les goélettes aux lignes maritimes.
Que Railcoop ouvre plutôt un musée.
Voir plusOn voit qu’il s’agit de logements publics: armée, HLM, collectivités etc…
La gestion est lente. Les affectations, longues à décider. Les intervenants se marchent sur les pieds. Les règles à suivre nombreuses, souvent contradictoires, absurdes etc…
Retenons le seul point positif, le privé ne fait pas de profits, à part les sociétés privées de surveillance, les avocats, les serruriers et les marchands de vidéosurveillance.
Voir plusJ’oubliais les assos de « défense » des sans-abris qui ont un super terrain d’action.
je n’ai toujours pas compris pourquoi les viticulteurs du bordelais ne se diversifiaient pas vers le vin rosé qui est le nouveau gout des consommateurs, au lieu de s’entêter à faire des rouges qui ne se vendent plus, voire jusqu’à l’arrachage des ceps.
Voir pluson peut partager le diagnostic de la revue « Transports Urbains » qui, dans son dernier numéro avec un éditorial en l’honneur de Railcoop – « Ouverture du marché ferroviaire : que nous enseignent les déboires de Railcoop ? » – fustige une stratégie trop dispersée et dissipative en moyens financiers, avec la première tentative d’activité dans le fret finalement abandonnée…
https://www.cairn.info/revue-transports-urbains-2023-1-page-1.htm
si l’on s’escrime à considérer positivement cette expérience malheureuse on pourra toujours la voir comme un balisage pour une future tentative, où l’effort devra se concentrer sur cette ligne Bordeaux-Lyon, mais en orientant l’offre davantage vers le tourisme social, avec le concours des CCAS des villes concernées pour répondre au besoin de vacance (« insolvable » (?!)) des populations les plus démunies :
une véritable entreprise d’économie sociale et solidaire pourrait alors voir le jour, jusqu’à la contribution des départements et des bailleurs sociaux pour réserver quelques logements du parc social réhabilités et transformés en éléments d’un parc hôtelier solidaire :
ce serait faire la nique à la vieille dame rouillée qui à une certaine époque faisait la publicité dans ses gares et ses trains des principaux lieux touristiques du pays…
Pourquoi, s’il s’agit de sauver la planète, ne pas remettre en service les relais de poste et les diligences? Cette solution ne produit que très peu de CO2, et surtout n’oblige pas à entretenir des voies ferrées.
Les voies de chemin de fer artificialisent des surfaces considérables. Utilisent d’énormes quantités d’herbicides etc…
Le train pollue beaucoup trop, pour un service médiocre. Les partisans du train ont fait l’impasse sur l’invention du pneu, de l’automobile (symbole de liberté et de décentralisation), et ne semblent pas savoir qu’arrivent les véhicules automatiques, et même les drônes.
Le train est aux transports terrestres ce que furent les goélettes aux lignes maritimes.
Que Railcoop ouvre plutôt un musée.
On voit qu’il s’agit de logements publics: armée, HLM, collectivités etc…
La gestion est lente. Les affectations, longues à décider. Les intervenants se marchent sur les pieds. Les règles à suivre nombreuses, souvent contradictoires, absurdes etc…
Retenons le seul point positif, le privé ne fait pas de profits, à part les sociétés privées de surveillance, les avocats, les serruriers et les marchands de vidéosurveillance.
J’oubliais les assos de « défense » des sans-abris qui ont un super terrain d’action.
je n’ai toujours pas compris pourquoi les viticulteurs du bordelais ne se diversifiaient pas vers le vin rosé qui est le nouveau gout des consommateurs, au lieu de s’entêter à faire des rouges qui ne se vendent plus, voire jusqu’à l’arrachage des ceps.