« Quand la nature fait le trottoir à Bordeaux ». Pour changer du coronavirus (et de son monopole sur l’actualité), Olivier Sigaut a eu la bonne idée. Son sujet a été retenu parmi la trentaine de sujets proposés par nos lecteurs pour répondre à notre jeu : « Tout sauf le Coronavirus ! » Il remporte ainsi un abonnement d’un an à notre Kiosque abonné.
Avec l’arrêt des pesticides et l’interdiction des herbicides chimiques sur la voie publique, la végétation spontanée refait surface à Bordeaux. C’est certes l’occasion d’accueillir une biodiversité, mais aussi l’occasion d’étudier et découvrir les plantes qui poussent sur nos trottoirs et de comprendre comment se propagent-elles.
Ce sont alors des dizaines d’espèces qui peuvent s’installer sur quelques centimètres carrés ou dans les interstices des pavés. Lesquelles et à quoi servent-elles ? Quel rôle jouent-elles en temps de grosses chaleurs ? Et en quoi contribuent-elles à un écosystème plus global servant à la sauvegarde de certains papillons et à la survie des abeilles ?
Du pourpier au pissenlit, on fera le tour de la question avec des spécialistes et des botanistes. Ils sauront sans aucun doute réconcilier les Bordelais avec une richesse longtemps ignorée : la flore sauvage des rues de leur ville.
Le sujet « Quand la nature fait le trottoir à Bordeaux » a été choisi parmi des sujets touchants à des grandes thématiques comme l’histoire ou l’avenir de Bordeaux, les mutations urbaines et politiques de la ville. Sans nul doute que nos lecteurs qui en sont les initiateurs nous poussent tout de même à y jeter un œil de plus près. A suivre.
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