
Photo : Habitats des possibles/DR
Ce gisement invisible de plus de 300 000 logements vides ou sous-occupés en Gironde (1/2)
Des raisons sociales et écologiques – faire avec l'existant pour loger tout le monde, notamment une population vieillissante, et préserver les sols et les ressources – animent le débat sur logements vacants ou sous occupés. Ceux-ci représentent 38% du parc en Gironde, et même les deux tiers dans les villes avec de nombreuses résidences secondaires. Certaines ont engagé non sans difficultés une lutte active contre la vacance, à l'instar de Castillon-la-Bataille. Une enquête en deux volets, en clôture de notre dossier "Bâtir la ville sur la ville".
Chargement des commentaires…