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Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Dossier
Bordeaux sous la guerre Israël-Hamas

Le Cercle est un lieu essentiel de la vie locale : commentez, réagissez, et construisez avec nous l’actualité.
comme promis le lien évoqué au sujet de l’autosaisie possible de la chambre régionale des comptes pour l’évaluation d’une politique publique relevant des collectivités territoriales ( Art. R. 245-1-1 et suivants du décret n° 2022-1549 du 8 décembre 2022) :
« La chambre régionale des comptes peut, de sa propre initiative, procéder à l’évaluation d’une politique publique relevant des collectivités territoriales et organismes soumis à sa compétence de contrôle des comptes et de la gestion. »
Art. R. 245-2-1.
« La chambre établit un rapport d’évaluation dans lequel elle apprécie, notamment, les résultats et les impacts de la politique publique ainsi que les facteurs qui les expliquent. L’appréciation porte sur la cohérence, l’efficacité et l’efficience de la politique publique concernée. »
[ici le terme le plus intéressant est « efficience », qui renvoie directement à la gestion, avec la consommation des ressources utilisées dans la production d’un résultat, constaté ou attendu, constituant essentiel de la mesure de la performance… laquelle nous renvoie à une bonne utilisation des deniers publics ; le terme de « cohérence » est bien sûr non moins important, où l’on ne peut mettre en opposition, en contradiction les échelles de territoire, avec notre cas d’école de GPSO venant percuter (!) les questions locales de mobilité (AOM et RER)…]
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/article_jo/JORFARTI000046720403
Voir plusl’interco et ses godillots du système SNCF obsolète ont ce premier décembre 2023 troqué les semelles de plomb pour celles en uranium (deux fois plus denses…) :
c’est désormais l’assurance d’assécher des capacités financières déjà bien écornées et qui ne pourront pas répondre sur la bonne temporalité aux défis des transports urbains (réseau de tram à étoffer et à mailler) et des transports publics de la zone périurbaine (RER)…
on se désole ne pas avoir à notre disposition une chambre régionale des compte (CRC) assez réactive, éclairée, anticipatrice et à vision globale pluridisciplinaire pour protéger les habitants d’une grande zone urbaine de tels errements édilitaires qui ne peuvent que mener à une carence de gestion dès le moyen terme, voire le court terme :
pourtant depuis le récent décret du 8 décembre 2022 l’évaluation d’une politique publique relevant des collectivités territoriales peut être engagée à l’initiative de la CRC…
comme d’hab je mets le lien en réaction suivante pour ne pas bloquer mon commentaire ;
Voir pluset en la matière tous les ingrédients d’une gestion défaillante de la mobilité sont réunis, avec d’un côté d’énormes dépenses affectées inutilement, pléthoriquement à des bus urbains, et de l’autre une probabilité de plus en plus grande que le projet de RER ne sera abondé que très insuffisamment pour répondre correctement aux besoins des habitants de la zone d’attractivité bordelaise…
une « impérieuse » nécessité économique ?
non, non… !
une « ardente » (!) nécessité économique…
« produire localement près de 111 000 litres d’essence, après raffinage, soit l’équivalent de 1 850 pleins de 60 litres » :
nos ami-e-s bagnolard-e-s du bassin d’Arcachon sont désormais éligibles au racolage ciblé des campagnes électorales écolos locales… puisque désormais en passe de devenir pratiquants des circuits courts :
un potentiel de 1850 bulletins de vote à « capter »… ou encore une belle idée à « creuser » (!!!)
pas belle la vie…. ? non tout ça est atrocement moche, je sors illico et rempoche mon humour noir (!) à la con…
Voir plusben voui … encore plus « attractive » elle aurait été avec des bus électriques, flambant neufs, coûtant la peau des fesses et d’autre chose…
tandis qu’avec les classiques bus articulés la supercherie est encore « gérable »
même s’il va falloir plus qu’un chausse-pied pour encaquer le contenu descendant d’un tégévé à St-Jean…
les plus grands gagnants de l’histoire sont sans doute les techniciens territoriaux de Montre-ton-popol, en charge de la com, qui n’auront pas tout de suite à se défoncer méchamment le caisson pour trouver la parade, en changeant la formule servie à l’époque pour justifier la situation du tram bondé (dans la réalité offre de réseau de tram sous-dimensionnée dès le départ) :
« le tram victime de son succès! »
Voir pluscomme promis le lien évoqué au sujet de l’autosaisie possible de la chambre régionale des comptes pour l’évaluation d’une politique publique relevant des collectivités territoriales ( Art. R. 245-1-1 et suivants du décret n° 2022-1549 du 8 décembre 2022) :
« La chambre régionale des comptes peut, de sa propre initiative, procéder à l’évaluation d’une politique publique relevant des collectivités territoriales et organismes soumis à sa compétence de contrôle des comptes et de la gestion. »
Art. R. 245-2-1.
« La chambre établit un rapport d’évaluation dans lequel elle apprécie, notamment, les résultats et les impacts de la politique publique ainsi que les facteurs qui les expliquent. L’appréciation porte sur la cohérence, l’efficacité et l’efficience de la politique publique concernée. »
[ici le terme le plus intéressant est « efficience », qui renvoie directement à la gestion, avec la consommation des ressources utilisées dans la production d’un résultat, constaté ou attendu, constituant essentiel de la mesure de la performance… laquelle nous renvoie à une bonne utilisation des deniers publics ; le terme de « cohérence » est bien sûr non moins important, où l’on ne peut mettre en opposition, en contradiction les échelles de territoire, avec notre cas d’école de GPSO venant percuter (!) les questions locales de mobilité (AOM et RER)…]
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/article_jo/JORFARTI000046720403
l’interco et ses godillots du système SNCF obsolète ont ce premier décembre 2023 troqué les semelles de plomb pour celles en uranium (deux fois plus denses…) :
c’est désormais l’assurance d’assécher des capacités financières déjà bien écornées et qui ne pourront pas répondre sur la bonne temporalité aux défis des transports urbains (réseau de tram à étoffer et à mailler) et des transports publics de la zone périurbaine (RER)…
on se désole ne pas avoir à notre disposition une chambre régionale des compte (CRC) assez réactive, éclairée, anticipatrice et à vision globale pluridisciplinaire pour protéger les habitants d’une grande zone urbaine de tels errements édilitaires qui ne peuvent que mener à une carence de gestion dès le moyen terme, voire le court terme :
pourtant depuis le récent décret du 8 décembre 2022 l’évaluation d’une politique publique relevant des collectivités territoriales peut être engagée à l’initiative de la CRC…
comme d’hab je mets le lien en réaction suivante pour ne pas bloquer mon commentaire ;
et en la matière tous les ingrédients d’une gestion défaillante de la mobilité sont réunis, avec d’un côté d’énormes dépenses affectées inutilement, pléthoriquement à des bus urbains, et de l’autre une probabilité de plus en plus grande que le projet de RER ne sera abondé que très insuffisamment pour répondre correctement aux besoins des habitants de la zone d’attractivité bordelaise…
une « impérieuse » nécessité économique ?
non, non… !
une « ardente » (!) nécessité économique…
« produire localement près de 111 000 litres d’essence, après raffinage, soit l’équivalent de 1 850 pleins de 60 litres » :
nos ami-e-s bagnolard-e-s du bassin d’Arcachon sont désormais éligibles au racolage ciblé des campagnes électorales écolos locales… puisque désormais en passe de devenir pratiquants des circuits courts :
un potentiel de 1850 bulletins de vote à « capter »… ou encore une belle idée à « creuser » (!!!)
pas belle la vie…. ? non tout ça est atrocement moche, je sors illico et rempoche mon humour noir (!) à la con…
ben voui … encore plus « attractive » elle aurait été avec des bus électriques, flambant neufs, coûtant la peau des fesses et d’autre chose…
tandis qu’avec les classiques bus articulés la supercherie est encore « gérable »
même s’il va falloir plus qu’un chausse-pied pour encaquer le contenu descendant d’un tégévé à St-Jean…
les plus grands gagnants de l’histoire sont sans doute les techniciens territoriaux de Montre-ton-popol, en charge de la com, qui n’auront pas tout de suite à se défoncer méchamment le caisson pour trouver la parade, en changeant la formule servie à l’époque pour justifier la situation du tram bondé (dans la réalité offre de réseau de tram sous-dimensionnée dès le départ) :
« le tram victime de son succès! »