
Malgré les objectifs ambitieux de son Plan Climat, la Communauté urbaine de Bordeaux peine à réduire l’usage de la voiture particulière. La solution passe-t-elle par le stationnement payant, que la Ville étend à l’intérieur des boulevards ? Doit-on aller plus loin ? Débat.
9h20, un jeudi matin : l’heure de pointe touche à sa fin, mais le manège des voitures, cherchant à se garer Croix de Seguey, se poursuit. En désespoir de cause, Marie s’est rangée sur un passage clouté et attend qu’un habitant de ce quartier bordelais, entre le Palais Gallien et les boulevards, veuille bien libérer une place.
« Cela fait plus d’une heure que je suis partie de chez moi, mais en bus cela m’aurait pris une heure et demi, soupire avec philosophie cette aide à domicile d’une cinquantaine d’années, résidant à Bègles. Avec les travaux et le stationnement devenu payant dans les rues voisines, c’est de plus en plus dur de trouver, certains sont obligés de se mettre sur les trottoirs. Moi je ne peux pas me permettre que ma voiture parte à la fourrière, j’en ai besoin pour travailler. Heureusement, je déménage bientôt à Bruges, pour être plus près de ce secteur. En vélo, je mettrai 10 minutes ! »
Un peu plus loin dans le même quartier, Karine, clerc d’avocat de 40 ans, fulmine en sortant de son véhicule : « C’est l’enfer pour se garer ». La jeune femme va désormais marcher un quart d’heure pour rejoindre son cabinet, près de la basilique Saint-Seurin.
« Ce secteur est en stationnement payant depuis deux ans, et depuis septembre c’est le tour des environs de la rue Paulin. Résultat, on doit aller de plus en plus loin pour trouver une place gratuite. Je voudrais bien payer le stationnement, mais on ne peut mettre que 3 euros 40 pour deux heures maximum, et je ne peux sortir de mon bureau toutes les deux heures pour recharger l’horodateur ! »
Des barrières aux places gratuites
Pourtant, Karine vit à Bordeaux, non loin du parc de Rivière, c’est à dire à seulement deux kilomètres de son cabinet – elle fait donc partie de cette moitié d’automobilistes français dont les déplacements font moins de 3 km.
« J’aimerais bien y aller à vélo, reconnait-elle, mais j’ai un enfant de trois ans que je dépose à l’école à Primrose, de l’autre côté des boulevards, et c’est trop dangereux de les emprunter, je ne veux pas prendre ce risque. » (Précisons toutefois qu’on n’y a recensé qu’une demi-douzaine de cyclistes accidentés en 2012, et aucun tué)
En attendant que cet axe soit « pacifié », lors d’un chantier qui devrait être l’un des plus importants de cette mandature, Karine aura sans doute de plus en plus de difficultés à se garer entre les cours et les boulevards : le stationnement payant sur la voirie et la limitation à 30 km/h doivent y être généralisés dans les 6 ans qui viennent. 800 places sont déjà devenues payantes cette année, il y en aura à terme 9500, indique Jean-Louis David, adjoint au maire de Bordeaux en charge de la politique de proximité :
« On a envie d’une ville apaisée, dans laquelle les déplacements soient de plus en plus écologiques, et facilités pour tous, les personnes à mobilité réduite, les jeunes parents avec poussettes, les personnes âgées. Pour cela, nous avons la volonté évidente de réguler, voir d’empêcher celles et ceux qui voudraient scotcher leur voiture de le faire, alors qu’ils peuvent utiliser les transports en commun, le vélo ou la Bluecub. »
Vaches à lait ou vaches maigres ?
But recherché : réduire les émissions de gaz à effet de serre, la pollution aux particules fines des voitures, et la fréquence des bouchons dans la 4ème ville la plus embouteillée de France. Si la Ville de Bordeaux est soupçonnée de se sucrer au passage sur le dos des automobilistes, Jean-Louis David souligne que c’est d’abord beaucoup de frais :
« Un horodateur coûte 5400 euros. Il faudrait consacrer 1 million d’euros par an, nous en sommes plutôt à 400 000. »
Le retour sur investissement est toutefois intéressant : une place rapporte 2 euros par jour, ce qui fera donc à terme une rentrée annuelle de près de 7 millions d’euros. Mais la Ville répète volontiers qu’elle accède en ce sens à la demande des riverains, lassés de voir des voitures « ventouses » squatter en bas de chez eux.
Nous avons rencontré quelques Bordelais dans ce cas, comme Antoine, dont la rue Fieffé est très prisée – c’est l’une de celles encore gratuites à proximité de la gare Saint-Jean. Ou Yohann, prof de tennis à Carbon-Blanc, mais résidant près de la place Marie Brizard :
« En journée, le stationnement payant libère beaucoup de place, les gens vont se garer plus loin. C’est appréciable, et même si ça coûte plus cher – 15 euros par mois pour les résidents -, c’est toujours moins que 80 à 100 euros pour louer un garage. En revanche, quand j’ai fini mon travail le soir vers 23h, cela ne change rien : tous le monde est rentré avant moi, et il n’y a pas de place ».
Ne plus prendre un enfant par la main
Aussi, la Ville jure qu’elle n’entend pas réduire l’offre de stationnement, au grand dam de Nicolas Guenro, conseiller municipal socialiste (et directeur de Citiz Bordeaux, le service d’autopartage) :
« Accepter du stationnement résidentiel payant dans la rue est une vision à court terme. Cela se fait au détriment de ceux qui ont besoin de venir à Bordeaux pour le travail, et cela bloque tout projet alternatif à la voiture sur la voirie, comme l’aménagement de pistes cyclables, de couloirs de bus, ou de zones de rencontre permettant de laisser les enfants se balader dans la rue ».
Pouvoir lâcher la main de ses gamins en bas de chez soi, voilà qui avait séduit les habitants de la rue Tannesse lorsque suite à l’écroulement d’un immeuble, la rue a été interdite à la circulation. Alors qu’elle se transformait en parking sauvage, et que les voitures empêchaient les riverains de sortir leurs vélos ou leurs poussettes, ils ont fabriqué des jardinières dans des barriques, et redonné vie à la ruelle :
« Cette rue sans voiture a déclenché une prise de conscience, raconte Anita Gineste, de l’association Bordeaux Tanesse. Les piétons et les vélos passaient en bas de chez nous, on se parlait, et on a organisé des choses ensemble, des repas et des soirées. On a réalisé que notre rue n’était avant cela plus un lieu de vie, mais un axe autoroutier, avec un engorgement des voitures venant de la rue Saint-Genès et de la rue de Pessac pour aller dans le centre. La mairie a répondu favorablement à notre demande de créer une zone de rencontre, limitée à 20 kilomètres-heure, où les piétons seront prioritaires. Et que, comme Saint-Michel ou les Chartrons, nos quartiers d’échoppes soient apaisés, avec des limitations de vitesse respectées. Mais on attend toujours, il paraît que cela revient très cher de refaire la voirie… »
Plus d’une voiture par ménage dans la Cub
Le dossier illustre les arbitrages éminemment sensibles à prendre entre ceux qui vivent en ville et ceux qui doivent la traverser pour y travailler. Cela se traduit dans les taux de motorisation de la communauté urbaine de Bordeaux : s’il était en 2009 de 1,16 véhicule par ménage (en hausse par rapport à l’enquête ménage de 1998), ce taux oscille entre 0,40 et un véhicule dans le centre-ville, et entre 1 et 2 au-delà des boulevards.
En ne faisant bénéficier du tarif résidentiel qu’une seule voiture par ménage, la Ville voudrait pousser les Bordelais à abandonner au moins leur deuxième bagnole, et à laisser l’autre stationnée pour prendre d’autres moyens de transport dès que possible. Ce qui ne plaît pas à cette riveraine de la rue Paulin :
« On a un garage, mais pas pour nos deux voitures, on va être obligés de payer l’abonnement, indique Anne, 32 ans, auditrice dans un cabinet d’expert comptable. En vendre une ? Pas possible, on en a tous les deux besoin pour aller voir nos clients, deux à trois fois par semaine. Et je ne comprends pas qu’il n’y ait pas un système d’abonnement pour les salariés qui travaillent dans le quartier. Dans notre cabinet, on a beaucoup de jeunes mamans habitant rive droite qui ne peuvent pas se passer de leur véhicule si elles veulent aller chercher à temps leurs enfants à l’école ou à la crèche. »
Quant les autos stoppent aux échoppes
Alors que le Plan Climat de la communauté urbaine de Bordeaux a d’ambitieux objectifs de réduction de l’usage de la voiture – passer de 59% des déplacements à 45% -, on touche là du doigt un des enjeux principaux pour la métropole : l’offre de transports en périphérie, estime Jean-Christophe Chadanson, directeur d’études à l’A’Urba, l’agence d’urbanisme de l’agglo.
« Lorsqu’on regarde les agglomérations européennes qui ont l’organisation de la mobilité la plus durable, on se rend compte qu’il y a quatre conditions à remplir : avoir un transport collectif urbain très efficace, c’est le cas à Bordeaux ; avoir un transport collectif périurbain très efficace, ce qui n’est pas encore le cas ; il faut mener des politiques de changement comportemental, ce qui ne se fait pas du tout, alors que mener des enquêtes auprès des gens pour les inviter librement à modifier leurs habitudes marche bien en Scandinavie ou en Australie, et ne coûte pas cher ; enfin, il faut réduire la place de la voiture, physiquement ou en augmentant le coût et la durée de son déplacement. Pour cela, l’extension des zones de stationnement payant est un outil tout à fait efficace. Cela se fait à Bordeaux, mais aussi à Pessac et Mérignac. Les gens doivent toutefois pouvoir se reporter sur les transports collectifs ou le vélo… On peut espérer que les futures lignes de tram ou de bus en site propre, ainsi que leur maillage circulaire, via les boulevards ou le train de ceinture, répondront à la demande. Elles permettront aussi au passage de réduire l’accessibilité de l’auto à l’agglomération… »
Pas question en tous cas d’instaurer un péage urbain à Bordeaux, « discriminant pour les gens obligés de prendre leur voiture », nous disent de concert Jean-Louis David, à la mairie, et Christophe Duprat, vice-président de la Cub en charge des transports.
La voie verte de la rocade dans l’impasse
Même le projet, issu du Grenelle des mobilité, de réserver la troisième voie de la rocade aux alternatives à l’auto solo (taxis, bus, covoiturage…) est pour l’instant au point mort, suspendu à la question du financement du passage à 2×3 voies. Et on attend avec impatience de voir quelle option sera privilégiée sur les boulevards, où Alain Juppé envisageait un temps de faire passer un tramway aérien, ce qui aurait eu l’avantage de ne pas trop gêner la circulation des bagnoles…
« Il faut être réaliste, on ne fera pas baisser la part modale de la voiture à 0%, observe Christophe Duprat. Mais il est clair pour nous que dans un avenir proche, toute voiture n’ayant rien à faire l’intérieur des boulevards doit rester en amont. Nous allons doubler le nombre de places dans les parkings relais, aujourd’hui en surcapacité, en en créant 5000 supplémentaires, sur les barrières principales et au croisement des lianes. »
Autre option vivement encouragée : la mutualisation des parkings, comme celui de la Cité administrative, réservés aux salariés ou aux clients la journée, et laissés aux résidents le soir. Bref, il faut veiller à « l’acceptabilité » du changement pour les automobilistes. Christophe Duprat n’oublie donc pas qu’il faut « éduquer les gens » :
« A Bordeaux on est à 15% de marche à pied, contre 24% à Nantes, soutient le maire de Saint-Aubin. Les Bordelais ne réalisent pas toujours, comme on a tenté de leur expliquer lors d’une opération la semaine dernière, qu’ils mettront moins de temps à marcher entre Pey-Berland et Mériadeck, plutôt que d’attendre 4 minutes le tramway. On a des marges de manœuvre sur le covoiturage et le vélo. Et on doit aussi sensibiliser les salariés aux abonnements Tbc (tram et bus de la Cub) : leur entreprise peut en prendre la moitié en charge, il ne leur reste plus que 12 euros à payer par mois. Regardez ce que vous pouvez parcourir avec 12 euros de carburant ! Cela vaut le coup, même si on met un peu plus de temps. »
Dans le sens de la marche ?
Pour Jean-Philippe Noël, directeur général de Parcub, établissement public de la communauté urbaine gérant 8400 places de parking, tous les élus tirent dans le bon sens :
« Nous avons rattrapé notre retard dans des délais relativement courts. La fréquentation des transports en commun et l’utilisation du vélo ont explosé. Certes, la part modale de la voiture particulière bouge peu. Mais grâce à l’offre de transports collectifs, son utilisation a baissé de 10% dans la zone intraboulevards, la plus dense du territoire en population et en emplois. C’est une rupture très claire de ces 10 dernières années, et à mon avis cette évolution majeure se poursuivra. L’orientation des 500 000 logements dans la Cub est d’urbaniser de façon prioritaire les corridors de 300 mètres autour du tram, et cela marche très bien. Si l’immobilier de l’agglomération se porte plutôt bien par rapport au reste de la France, c’est parce que ces zones autour des axes de tramway sont très attractives. »
Nicolas Guenro, conseiller municipal socialiste, est moins optimiste :
« Le prix du foncier est en train d’exploser à Bordeaux. Tant que les gens auront le choix entre une maison à 300 000 euros dans la Cub ou à 100 000 euros à 40 bornes, le choix sera vite fait. Le salut passera peut-être par des mesures nationales, comme la fin de l’avantage fiscal pour le diesel. Et surtout par des solutions permettant aux gens de moins se déplacer, comme le télétravail. Demander à un employé de faire 30 kilomètres tous les jours pour venir s’asseoir devant un ordinateur, cela n’a aucun sens. »
Que la métropole d’un million d’habitants ne se bâtisse pas au rythme de l’auto-boulot-dodo, voila à quoi donner en tous cas la priorité.
Aller plus loin
Les études sur la mobilité de l’A’urba, dont une de mai 2014 sur le stationnement privé
TBC incite d'ailleurs à marcher entre les stations ce qui constitue un aveu de faiblesse.
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Non mais c'est quoi cette précision... je rêve. Ça m'a stoppé dans la lecture de l'article...
Merci toute fois de votre réponse, et à cette heure moins tardive je finis la lecture de l'article. :)
Bonne journée.
Je vous remercie de cette remarque:" si vous possédez un abonnement résidentiels rien n'interdit à votre connaissance de laisser un véhicule sur place plusieurs jours:" Moi non plus.
Cependant ça fait plus d'une année que mon véhicule est remisé en fourrière . Et mes moyens de Demandeur d'emploi de 58 ans cadre en fin de droit ne me le permettent pas .D'autant que privé de véhicule, la ville na fait qu’aggraver ma situation. Mais ne somme nous pas dans un monde ouvert qui enfume l'esprit ,où la précarité nourrit les pauvres et ou eux même s'agenouillent devant les plus riches.La n'est pas le sujet me direz vous peut être.(il convient de faire la différence d'un abonnement avec des places sur des aires de stationnement réservé au résidents d'IN C ITE comme il est matérialisé à l'entrée de la rue Maryse BASTIE réservé aux résidents. Résidents lesquels s'acquittent pour cela de charges locative pour l'entretien de ces espaces)
Avec un abonnement auquel nous ne sommes pas tenu,du moins pas encore...
J'ai rencontré Madame la maire du quartier grand PARC ainsi que sont adjointe. J'ai écrit à Madame la vice présidente de PARC CUB gérant de la fourrière Municipale. Je fus renvoyé vers Monsieur Jean Philippe NOEL PRÉSIDENT de celle ci tous m'ont dirigé vers L omp
Après plusieurs courriers adressé à L O M P ainsi qu'au vice procureur de la république. L'un me répondant que j'étais en infraction pour stationnement abusif sur la voie publique. L'autre corroborant cette réponse en m'informant dans le courrier: Qu'un relevé de valve avait été fait par la police municipale? J'ignorais que la lois autorisé les forces de l'ordres d'intervenir sur les organes d'un véhicule.
Car en effet à plusieurs reprises j avais remarqué même en déplaçant mon véhicule qu'un de mes pneus était à plat. Cela d'ailleurs m'avait obligé à faire vérifier ceux ci par un garagiste lequel lui même ne comprenant pas .
Comme il en n'à été fait écho à plusieurs reprise dans la presse locale Les places de stationnements des résidents des rues adjacentes à la polyclinique Bordeaux nord. dont la rue Maryse BASTIE et François LEVEQUE. Sont de jour comme de nuit weekend y compris sans cesse occupé par les personnels et visiteurs de celle ci.
De plus l'on incite les usagers d'utiliser les transports public pour ce rendre dans le centre ville. Cela étant nous utilisons moins nos véhicules en ce cas. Ce qui pour autant ne nous oblige pas à nous en séparer.
Les principaux concernés étant les bailleurs sociaux ,dont IN C ITE pour la rue Maryse BASTIE . Celle ci ne faisant pas partie de la frange cadastrale du domaine public selon le plan cadastral de la programmation urbaine du grand parc
Celles ci étant situé place de l EUROPE- Rue Robert SCHUMANN.
Aussi si bannir la voiture de bordeaux est devenu un sujet de préoccupation majeur. Le déplacement dans des zones non desservi de la Métropole pour des raison de rentabilité l'est tout autant.
EX Pour les usagers qui travaillent sur le bassins,la rive droite etc etc car si tout le monde na pas la chance de travailler en centre ville .
Peut ne peuvent l'éviter, comme la rocade.
Ainsi il y lieu de considérer que la ville ma subtilisé mon véhicule par erreur et me doit de ce fait réparation.
Mon véhicule étant une voiture de collection,Mercedes, par chance ce n'est pas quatre bout de plastique équipé d'un moteur de deux CV . Avec lequel j ai passé mon permis de conduire sur les piste à char de Mourmelon en 1978 .
Qu'il y à lieu de nommer MEHARI et qui ce négocie auprès des BOBO, pour leurs lieu de villégiature arcachonnais à plus de sept mille euro.
Chacun est libre d'utiliser pour sa convoitise,sont argent comme il l'entent et sa connerie par la même .Mais pas de déposséder par des procédé fallacieux le bien d'autrui pour des raisons de mode et de marché.
Mais les mœurs et les manières sont des usages que les lois n'on point établis j'en suis conscient.
Les places des riverains étant squattées par les visiteurs et personnels de la polyclinique Bordeaux Nord. Cependant même si un projet de parking en épis est en cours.Les occupant des lieux qui ont eu leurs véhicule enlevé et qui n'ont pas les moyens de s’acquitter des frais de fourrière sont les premiers pénalisé par cette injustice.
D'autant que selon la législation le fait de privé autrui de sont bien illégalement s’avère préjudiciable et peut aller à plusieurs centaines d'euro de dommage et intérêt.
Et ça la ville le sais parfaitement.
Mais c est bien connu pour ce défendre il faut des moyens selon qui vous serez, c est bien connu...
Et le montant de l'aide juridictionnelle n'est pas dés plus séduisant pour les avocats.
Il ne reste plus qu'à espérer sur l'esprit d'un responsable ayant le sens de la négociation.
Si on me paye pour rester à rien glander chez moi, je suis preneur !
Tout ceci contribuant à réduire Bordeaux à un centre historique pour touristes, où l'activité se résume chaque jour un peu plus à la restauration et au commerce de fringues. L'activité économique et industrielle est en bordure de rocade, à Mérignac, Pessac, Bordeaux Nord ...
Les transports en commun sont un mirage. Les gens ne viennent pas vivre à Bordeaux pour vivre comme à Paris pour passer 3h par jour dans les transports...
donneur de leçon bien pensant . Velibiste sans scrupule qui utilise les sens interdit pensant être dans leurs droit sur le plan législatif.Mais dont sur plan mental relève de la pathologie agavé d'inconscience notoire ( ce n'est pas de leurs faute cependant du moment que la loi leurs autorise d'être con) Voila que maintenant on vient jusque dans nos résidence nous enlever nos véhicules stationné sur les parking. Pour la raison qu'on ne peut stationner plus de sept jours à un même endroit,soit... Cependant les lois dans leurs rapporte les plus étendu dérivant de la nature des faits,il convient de discerner le mal de la légitimité. Ainsi force est de constater qu'à Bordeaux c est plus la répression envers les voitures qui officie par la force de l’ordre envers les travailleurs (même précaire)qui ont un besoin vital de leurs véhicules.Pour s'en aller gagner leurs pain quotidien mais aussi des premier assisté es de FRANCE je veux parler entre autres des fonctionnaire qui viennent nous spolier nos véhicules en parfait état de rouler,sur un lieu résidentiel où aucun panneau d'interdiction de stationner n'est apposé. Payer des individus qui nous harcèlent sans cesse ne serais ce pas en accord au syndrome de Stockholm? Le débat est ouvert.
Ce n'est qu'un fait divers parmi tant d'autres mais pour Information
Vous résidant d'in cite du quartier Grand Parc rue Maryse BASTIE
vous devrez aller stationner ailleurs que chez vous. Vous pensez légitime de garer votre où vos véhicules sur les place des parkings conçus vraisemblablement pour les résidents de ces lieux. Sachez qu'au dire du bailleur cela n'est qu'illusion et aucunement contractuelle vous n'êtes pas chez vous. Mais chez le DON le Seigneur tout puissant ayant droit d’enlèvement des voitures de ses sujets par la milice bordelaise. C est le cadeau de NOEL qu'on eu des résidents de cet endroit le vingt six décembre. Sans aucune forme d'avertissement préalable leurs véhicules furent enlever le matin par la fourrière. Au motif de l'ART R 417-12 pour stationnement abusif
non pas sur une route,une voie, mais sur un parking de rue réservé à cet effet aux résidents cela semble cohérent. Méfiance donc,"VADE RETRO VEHICULUM" Cacher ses auto de collection que certain pourraient ce payer et réparer s'ils étaient moins con.
PS/ A l'attention du modo: Après un post narquois sur les bobo à vélo dans Bordeaux ma voiture fût mis en fourrière .Bien que ce fusse pure coïncidence au cas où, je tiens à préciser: Les petits malin voulant s'offrir aux enchère un véhicule de collection à bat coût par quelconque combine vont avoir beaucoup de mal: 1/ une procédure judiciaire pour enlèvement abusif est en cour ce qui bloque toute action tant qu'un jugement n'est pas rendu. 2/ Je possède un autre véhicule vous pouvez venir me dire en face qu on va me l'enlever aussi si le courage ne vous manque pas ce dont je doute ...3/ Quitte à n'aboutir à aucune solution en ma faveur je demanderais sa destruction devant moi . 4/ Enfin bientôt je pense acquérir une XK8 une super affaire. Alors Mesdames Messieurs des unités d'escouade milicienne descendant des bon petit Français de 40 a vos complot.
et que la rocade sert à l'axe Nord sud de l'europe pour les routiers !
on veut faire un centre pour bobos parisiens qui descendent avec la LGV , et les actifs et usagés devront ce coltiner les galères pour bosser !!! bientôt le parisiens mettre moins de temps en LGV qu'un qu'un girondins qui fera 30 km autour de Bordeaux .