
Pourtant, les trois fondateurs n’y gagnent « pas un rond », rapporte le quotidien. Pourquoi ? La faute à Facebook qui interdit de monétiser les audiences d’un groupe avec la publicité.
Le tournant de Wanted Community se fait alors que Paris bascule dans l’horreur, un soir de novembre 2015. Les internautes sans nouvelles de leurs proches se tournent vers Facebook et notamment Wanted : messages, photos, appels à l’aide, le réseau fait le lien entre victimes et sauveteurs.
Dans ces circonstances désastreuses, Wanted Community reçoit une visibilité nationale et reçoit depuis plus de 60 000 messages et 600 000 commentaires publiés. La communauté devient chronophage. Les fondateurs décident alors de mettre leurs vies professionnelle de côtés pour passer près de dix heures par jour pour gérer les communautés.
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