L’université de Bordeaux va devenir propriétaire de son patrimoine, aujourd’hui détenu par l’État. Elle veut le faire fructifier en construisant de logements ou des bureaux. Objectifs : dégager des ressources pour la maintenance de ses locaux, mais aussi de renforcer son « attractivité » selon les « standards internationaux ». Les terrains de l’université pourraient lui rapporter gros, mais selon quelques esprits chagrins, ce n’est « pas son boulot ».
Cet article fait partie de l’édition abonnés.
| Déjà abonné ?
Connectez-vous
Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture
Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous
Chargement des commentaires…