Alain Anziani a proposé le retour des 11 maires de droite, au bureau, l’instance qui pilote Bordeaux Métropole. Objectif : obtenir une majorité pour adopter la délibération sur GPSO, les LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax que le président socialiste de la métropole veut financer contre l’avis des écologistes, principale force à gauche. Pierre Hurmic dénonce une « tambouille politique », tout en soulignant que la droite, loin d’être elle-même unanime sur le dossier des LGV, ne reçoit pas de vice-présidence et ne sera pas associée à l’exécutif.
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