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Le premier conseil municipal de Bordeaux depuis l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe a été l’occasion d’un échange sur l’accueil des réfugiés salué par tous les élus. L’extrême gauche déplore cependant « un soutien à géométrie variable » de la collectivité, accusée de ne pas autant se mobiliser pour d’autres causes, dont celle des Palestiniens.
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