Média local avec zéro milliardaire dedans

Adrien Chainier court les toits pour photographier Bordeaux la nuit

À 25 ans, Adrien Chainier, photographe girondin, a choisi la nuit comme sujet d’inspiration. Longtemps, les hauteurs des villes étaient son terrain de jeu. Le 14 juillet, il a repris le chemin des toits de Bordeaux. Nous l’avons suivi. Premier volet de notre série « Bordeaux gavé perché ».

Pauline Roussel

Publié le 30 juillet 2022 ·

6 minutes

Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous

Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Abonnez-vous maintenant pour suivre l’actualité locale.

Déjà abonné ?

Connectez-vous

L’investigation locale à portée de main.

Abonnez-vous et profitez d’un accès illimité à Rue89Bordeaux. Annulez quand vous voulez.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Choisissez votre formule :

Tarif découverte

5€ 1 € le premier mois puis 5€ par mois

S’abonner maintenant

Tarif annuel

60€ 50 € pour un an

S’abonner maintenant

-16%

Tarif soutien

5€ 10 € par mois

S’abonner maintenant

Fermer

Voir tous les articles

Autres mots-clés :

#Bordeaux #Bordeaux gavé perché #photographe #Photographie

À propos de l’auteur de l’article :

Pauline Roussel

Journaliste en formation à l’école de journalisme de Grenoble

Voir les articles

À lire ensuite

Des altana, l’idée planante d’un architecte pour les toits de Bordeaux

Photo : Atelier INVIT

Il y a 2 ans

Des altana, l’idée planante d’un architecte pour les toits de Bordeaux

En 2014, à l'occasion la biennale d'architecture, d'urbanisme et de design Agora, l'architecte parisien Lucien Puech crée un projet architectural hybride et novateur : construire des terrasses sur les toits, inspirées des altana vénitiennes. Ce concept a priori incompatible avec le classement Unesco, pourrait toutefois bien se concrétiser. Dernier volet de notre série d'été "Bordeaux gavé perché".

Série

Il y a 2 ans

Les toitures végétales, des oasis hauts dans la ville

La végétalisation de nos villes s'avère chaque été toujours plus importante. Aussi, les toits végétalisés ne sont plus seulement perçus comme une protection de l'étanchéité ou un moyen d'isolation. Ils deviennent un outil d'adaptation au dérèglement climatique, en créant des ilots de fraîcheur, et favorisent la biodiversité en ville. Aussi, ils poussent partout en France, notamment à Bordeaux. Quatrième volet de notre série estivale "Bordeaux gavé perché".

Abonnés

Il y a 2 ans

Ils grimpent sur les toits de Bordeaux pour « respirer au dessus de la fourmilière »

Sacha, Cédric et Paul, trois jeunes bordelais, pratiquent le parkour, une discipline sportive qui mêle escalade et exploration urbaine, sans aide matérielle. Comme d'autres "sortent dans les bars pour décompresser", eux se sentent plus vivants en escaladant des immeubles, flirtant ainsi avec le danger et la légalité. Nous les avons suivis, le temps d'une soirée, sur les toits bordelais. Troisième volet de notre série "Bordeaux gavé perché".

Série

Adrien Chainier court les toits pour photographier Bordeaux la nuit

Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Tarif découverte

Tarif annuel

Tarif soutien

À lire ensuite

Des altana, l’idée planante d’un architecte pour les toits de Bordeaux

Les toitures végétales, des oasis hauts dans la ville

Ils grimpent sur les toits de Bordeaux pour « respirer au dessus de la fourmilière »

Signaler une faute