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Derrière la nuit de violences à Saint-Michel, l’émergence d’un groupe radical d’extrême droite à Bordeaux

Une semaine après les violences et provocations racistes à Saint-Michel, rien ne perce de l’enquête ouverte par le parquet de Bordeaux. Soupçonné d’être à l’origine des heurts par des riverains, le groupuscule Bordeaux Nationaliste dément toute implication. Ce groupe à la rhétorique xénophobe et antisémite s’est déjà distingué à Bordeaux par quelques actions, notamment contre l’avortement, et serait selon certains impliqué dans les incidents qui ont émaillé la dernière Marche des fiertés.

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