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Handicapée par les séquelles de la pose de plusieurs modèles de prothèses mammaires, cette habitante de la région bordelaise ne peut plus travailler. Marcher, se baisser, rester concentrée : tout est devenu compliqué. Engagée dans une association, elle, et d’autres victimes, ont fait interdire en France en 2019 treize modèles d’implants mammaires. Mais elle peine à être indemnisée à la hauteur des dommages subis. En attente du verdict le 19 janvier dans un des procès de l’affaire PIP, elle veut alerter sur les risques de la chirurgie esthétique.
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