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Connectez-vousPour chaque habitant supplémentaire en France, on construit aujourd’hui deux logements, et leurs corollaires d’infrastructures (routes, entrepôts, data center…). Une densité plus forte ne parvient pas nécessairement à enrayer cet étalement urbain destructeur pour les terres, le climat et la biodiversité, estiment dans « La ville stationnaire », récemment paru chez Actes Sud, son trio d’auteurs bordelais – l’architecte-urbaniste Sophie Jeantet, l’ingénieur Philippe Bihouix et l’architecte Clémence De Selva. Dans cet entretien, cette dernière invite à « changer de paradigme » : ne plus construire là où sont les emplois, mais créer de l’activité dans les territoires comportant de nombreux logements vacants ou sous-occupés – un gisement de plus de 10 millions de logements.
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Photo : SB/Rue89 Bordeaux
Photo : MB/Rue89 Bordeaux
Photo : SB/Rue89 Bordeaux
Une procédure est engagée contre le plan local d'urbanisme de Bordeaux Métropole, au motif qu'il limite fortement les constructions de logements sur les terrains de maisons individuelles. Si des urbanistes défendent ce modèle pour éviter l'étalement urbain, beaucoup critiquent une densification des quartiers pavillonnaires qui se ferait au gré des intérêt privés, et au détriment des enjeux écologiques. Suite de notre dossier "Bâtir la ville sur la ville".
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