
Anciens Gilets jaunes, étudiants ou fonctionnaires, ils sont plusieurs milliers en France à avoir rejoint les rangs des manifestations spontanées dites "sauvages", constatant l'impasse politique des mouvements pacifiques. À Bordeaux, ces militants, novices ou plus chevronnés, ont notamment été impliqués dans l’incendie de la porte de la mairie le 23 mars dernier. Nous avons rencontré certains des participants à cette action qu'ils affirment spontanée, et que plusieurs regrettent. Les témoignages de ces dissidents de gauche ou autonomes confirment les premières conclusions du parquet, semblant écarter à ce stade l'hypothèse avancée dans nos colonnes d'une implication de l'extrême droite.
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