
La Financière immobilière bordelaise, le vaisseau amiral de Michel Ohayon, cherche à lâcher du lest
Après ses sociétés qui ont financé le rachat de ses trois prestigieux hôtels, la société principale de Michel Ohayon, la Financière Immobilière bordelaise (FIB), a été mise en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Bordeaux le 15 février dernier. Le porte-parole de la société s'en prend à la Bank of China qui "a changé d’attitude et exigé une somme 10 fois plus importante que celle prévue par l’accord". Au pied du mur, et pour amorcer un désendettement, l'homme d'affaires bordelais envisage, selon nos informations, la revente de certains actifs, comme le Château Trianon à Saint-Emilion ou l'ex-Virgin à Gambetta. Son projet de complexe oenotouristique à Libourne devrait aussi passer à l'as. Deuxième des trois volets de notre enquête sur la mauvaise passe traversée par l’entrepreneur bordelais.
Cet article est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous :
- Accédez à l’édition abonnés de Rue89Bordeaux (dossiers, articles et enquêtes)
- Participez aux concours hebdomadaires pour gagner des places de spectacles (théâtre, concert, cirque…)
- Soutenez le journalisme d'enquêtes et d'investigations locales
- Soutenez un média libre qui appartient à ses journalistes
- Supprimez la publicité
- Accédez en priorité à nos événements et nos rencontres dans votre ville
1€ le premier mois
puis 5€ par mois sans engagement