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Deux soirées Madame Loyal cette année au Parc des expositions, une autre de L’Initial au même endroit, Garospring récemment à l’Arena… Le gâteau du public électro de Bordeaux fait saliver des start-up ou des multinationales (Atresmedia, Vivendi), qui débarquent avec de gros moyens et de têtes d’affiches. Les acteurs de la scène locale sont partagés : pour certains, associés à la programmation, ces locomotives créent une audience et offrent une vitrine aux artistes du coin, bridés par le manque d’espaces adéquats et de soutien ; d’autres estiment au contraire que ces pachydermes écrasent les pieds des danseurs voisins, comme les organisateurs de feu le festival Durassic ou de l’Isulia, prévu une semaine après le Madame Loyal d’octobre. Première enquête de notre série « Les festivals du coin changent d’ère ».
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