Après « Sciences Porcs » en 2021, qui a dénoncé les actes de violences sexuelles et sexistes au sein des IEP, la vague #Metoo déferle désormais sur l’Université Bordeaux Montaigne (UBM).
La première à avoir briser publiquement le silence est l’enseignante-chercheuse Barbara Stiegler, qui a témoigné dans Sud Ouest le 21 octobre dernier. Dans les colonnes du quotidien, la philosophe accuse un ancien vice-président de l’université de l’avoir violée, chez elle, en mai 2020.
En juin 2022, Barbara Stiegler porte plainte, mais l’affaire est classée sans suite. Une nouvelle plainte a été déposée courant octobre, avec constitution de partie civile. La cellule de signalements de l’UBM, Stop Violences, se retrouve au cœur de la tourmente. Car ce sont au total une dizaine d’étudiantes qui ont dénoncé les agissements de cet ancien vice-président auprès de cette instance.
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