Eric Bernard est ému, « très ému » insiste-t-il. Celui qui a créé avec sa compagne Virginie Bastide Les Grandes Traversées, festival de danse et de performance qui a marqué l’agenda culturel bordelais entre 2001 et 2013, ne s’en remet pas de retrouver, dix ans après la dernière édition, les artistes et le public.
Noëlle Renaude, Christophe Huysman, Sasha Waltz, Angelin Preljocaj, Sidi Larbi Cherkaoui, Meg Stuart, Akram Khan, Constanza Macras, Erna Omarsdottir, Jared Gradinger… font partie de la longue liste des grands performeurs et chorégraphes passés par Bordeaux à l’invitation du festival, parfois pour la première fois. Le public bordelais se souvient des spectacles de haut niveau à la Base sous-marine, au Capc, ou encore dans l’espace public ou les brasseries comme le Café des Arts.
Ce samedi 9 décembre, Les Grandes Traversées sont de retour au Garage Moderne, « là où tout a commencé », et le public, comme les artistes, sont attendus pour « un voyage dans le temps » en guise d’une soirée d’adieu. Entretien avec Eric Bernard autour de ce qui est annoncé comme une page qui se tourne, et qui pourrait bien devenir un nouveau chapitre.
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