Les riverains commençaient à s’impatienter, voire s’agacer alors que circulait l’hypothèse selon laquelle cela revenait moins cher au promoteur de payer les 1000 euros d’astreinte par jour que de suspendre son chantier. Malgré la demande du tribunal judiciaire de Bordeaux, en date du 3 janvier, d’arrêter immédiatement les travaux du chantier Home, et les courriers recommandés envoyés par les avocats des riverains, Marignan Résidences tardait à exécuter la décision de justice.
« On n’arrête pas un chantier du jour au lendemain, il faut le sécuriser d’abord, avance Stéphane Pfeiffer, adjoint au maire de Bordeaux. La procédure d’arrêt est en cours et elle a été notifiée à toutes les entreprises qui interviennent sur le chantier. Il sera arrêté le 19 janvier. »
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