Sur le papier, le concept vend du rêve : les logements dits « à finir », dans lesquels l’acquéreur peut laisser parler sa créativité, étaient la marque de fabrique de Brazza, l’idée totémique de ce nouveau quartier de Bordeaux portée par l’architecte Youssef Tohmé.
Avec les premiers immeubles livrés dans ce coin de la rive droite sont donc apparus ces fameux « volumes capables ». Ces appartements sont livrés avec une partie habitable et le minimum nécessaire : eau courante, isolation, sanitaires. Pensés sur le modèle de l’échoppe bordelaise, avec ses façades homogène, les volumes capables se veulent accessibles au plus grand nombre avec des prix au mètre carré deux à trois fois moins chers que sur le marché.
Arthur et Apolline se sont laissés convaincre il y a de ça trois ans, via une annonce sur Leboncoin. « Au début on pensait que c’était une arnaque », se souviennent-ils. Le prix affiché sur l’annonce s’élevait à 222 000 €, soit un peu moins de 2 500€ du mètre carré.
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