La dissolution de l’Assemblée nationale n’en fini pas de perturber l’agenda politique. Alors qu’une décision devait être rendue le 4 juillet prochain concernant l’armement létal des agents de la police municipale, il faudra attendre la rentrée pour connaître l’issue des négociations.
Un report de calendrier jugé « inacceptable » par Jérôme Desorthes, élu du personnel CGT Mairie et CCAS de Bordeaux, le seul des quatre syndicats représentés qui appelle à la grève :
« On nous oppose des motifs politiques certes cohérents, mais en parallèle les policiers municipaux sont maintenus dans l’incertitude face au danger croissant et à l’insécurité qui augmente depuis des années. C’est leur santé qui pâtit du calendrier des élections. »

Cet article fait partie de l’édition abonnés. Pour lire la suite, profitez d’une offre découverte à 1€.
Contribuez à consolider un média indépendant à Bordeaux, en capacité d’enquêter sur les enjeux locaux.
- Paiement sécurisé
- Sans engagement
Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous

Chargement des commentaires…