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Le contrat de sécurité intégrée avec l’Etat enfin voté au conseil municipal de Bordeaux

Après trois ans d’attente, le contrat de sécurité intégrée (CSI) a été débattu lors du conseil municipal ce mardi 9 juillet. Bien que très attendu par l’aile droite de l’opposition, il a fait l’objet de polémiques sur les chiffres et de doutes sur sa compatibilité avec le programme du Nouveau Front Populaire, vainqueur des législatives.

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Le contrat de sécurité intégrée avec l’Etat enfin voté au conseil municipal de Bordeaux
Marc Etcheverry, adjoint à la sécurité, présente le contrat de sécurité intégrée

Le sujet était attendu. Les négociations entamées en 2021 ont enfin abouti au vote du CSI (contrat de sécurité intégrée) en conseil municipal ce mardi 9 juillet.
Ce contrat prévoit notamment l’ouverture de 30 postes supplémentaires au sein des effectifs de la police municipale, le remplacement systématique des départs à la retraite ou des mutations, un co-financement des nouvelles caméras de vidéosurveillance ou encore la création d’un nouveau commissariat, dont l’emplacement reste encore à déterminer.

« Ceux qui agissent »

Marc Etcheverry, adjoint à la sécurité, présente les enjeux de ce CSI, qui « dresse des engagements réciproques entre l’Etat et la Ville, en matière de sécurité et de prévention de la délinquance », avant de mettre en exergue les six priorités thématiques identifiées :

« La lutte contre les violences intra-familiales, sexuelles et sexistes, la prévention de la délinquance des jeunes, la lutte contre les stupéfiants, la tranquillité résidentielle et la réduction des incivilités, la sécurité dans les transports et la lutte contre les radicalisations », énumère l’adjoint.

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