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Connectez-vousDepuis 2021, les communes de la métropole bordelaise ont consommé 207 hectares d’espaces naturels pour construire des logements ou des bâtiments d’activité. C’est 51 hectares de plus que ce que l’agglomération devrait artificialiser pour respecter la loi Climat et Résilience.

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Photo : cc/PxHere
Une étude commandée par Bordeaux Métropole plaide pour la valorisation des excrétas et de l’urine, riches en nutriments, afin d’en faire des engrais locaux. Le territoire, pionnier avec feu La Fumainerie, pourrait redevenir laboratoire de l’assainissement écologique. Mais entre contraintes techniques, freins réglementaires et modèle économique incertain, le passage à l’échelle reste encore à inventer.
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