« Ça fait déjà un petit moment qu’on se dit qu’il s’agit de ne pas commettre les erreurs de la dernière fois : les mêmes causes produiraient les mêmes effets, s’il y avait deux listes on se priverait d’une chance de pouvoir gagner », reconnaissait Nicolas Florian en décembre dernier lorsque Rue89 Bordeaux l’interrogeait sur les municipales.
Mais le 26 janvier 2025, Bordeaux apprenait le décès brutal de son ancien maire, foudroyé par un AVC. Le gaulliste, fidèle compagnon de route d’Alain Juppé, prêchait l’union pour reconquérir la ville gagnée par les écologistes en 2020. Aujourd’hui, le fragile château de cartes qu’il s’efforçait de construire donne plutôt l’impression de s’écrouler.
Mauvais timing
L’idée de l’union commençait pourtant à prendre dans le petit « mundillo politique » bordelais, glisse un observateur ayant travaillé auprès d’Alain Juppé puis de son successeur au Palais Rohan :

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