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Contre les violences sexistes et sexuelles, La Poste ne veut pas faire de zèle en Nouvelle-Aquitaine

La délégation régionale en Nouvelle Aquitaine de La Poste conteste devant le tribunal judiciaire la désignation par le CSE (comité social et économique) de 18 référents en charge des violences sexistes et sexuelles, quand la loi n’en impose qu’un seul par CSE.

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Contre les violences sexistes et sexuelles, La Poste ne veut pas faire de zèle en Nouvelle-Aquitaine
Lors du rassemblement des syndicats de La Poste ce jeudi 10 avril devant le tribunal de Bordeaux

Les CSE (Comité social et économique) sont une création récente à La Poste. L’entreprise a remplacé l’an dernier par ces instances celles héritées du statut de la fonction publique, la majorité de ses salariés relevant désormais du droit privé. Mais les premiers pas se font dans la douleur : en cas de désaccord avec les délibérations des CSE, La Poste doit systématiquement passer par la justice.

Pas la ref

C’est suite à un tel recours que ce jeudi 10 avril, une cinquantaine de salariés de la Poste se sont rassemblés devant devant le tribunal judiciaire de Bordeaux. Le pôle social de ce dernier devait examiner une décision du CSE de la branche services-courrier-colis de La Poste en Nouvelle-Aquitaine (un des 32 comités d’établissement du groupe en France). Et cette procédure fait bondir les syndicats, qui ont obtenu le report de l’audience :

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