C’est une étude qui va plaire à Pierre Hurmic. A la pose de la première pierre, le maire de Bordeaux se réjouissait « des améliorations importantes » apportées au projet Canopia, jadis appelé Rue Bordelaise, et qu’il avait dû renoncer de stopper.
« Depuis 2021, à notre demande, des évolutions significatives du projet initial sont intervenues – avec la plantation de 600 arbres dont 235 en pleine terre dans l’axe piéton. Dans ce contexte d’urgence climatique, et en phase avec nos priorités municipales, un audacieux système de rafraîchissement bas carbone sera alimenté par un échange thermique avec la Garonne », confirmait-il à Rue89 Bordeaux.
L’édile mentionnait aussi la création d’un fil d’eau « contribuant lui aussi à un vaste îlot de fraîcheur. » Une étude scientifique menée par The Climate Company – cabinet toulousain qui « extrapole sur 20 ans les risques climatiques à micro-échelle urbaine » – pour l’opérateur Apsys semble lui donner raison. Celle-ci révèle un différentiel saisissant : jusqu’à 12 °C de moins ressentis dans les rues de ce nouveau secteur, comparé à l’environnement immédiat.
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