L’heure est au serrage de ceinture à Bordeaux Métropole. Après avoir beaucoup investi – 3,5 milliards d’euros sur la mandature, notamment dans les bus express, le RER métropolitain ou le logement social –, et plus que doublé sa dette – passée de 889 millions en 2020 à plus de 2 milliards d’euros –, elle doit faire face aux baisses de dotation de l’Etat – 67 millions d’euros en moins sur les projets de loi de finances 2025 et 2026.
« Comme toutes les collectivités locales, la situation est tendue par les ponctions de l’Etat, et l’ambiance géopolitique internationale n’entraine pas un optimisme béat, a estimé Véronique Ferreira, vice-présidente aux finances de la Métropole ce vendredi lors du débat d’orientations budgétaires. Nous avons annoncé des économies, il faut poursuivre, ce sera quelque chose de rude. »

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