Bonjour Des cartes de France couvertes de brun ou de noirs, avec quelques ilots roses ou orange dans les seules grandes villes, dont Bordeaux. C’est la vision stupéfiante qu’ont découvert nombre de concitoyens en émergeant ce lundi matin, au lendemain des élections européennes. Un paysage politique où le Rassemblement national, omniprésent, se voit même proposer les clés de Matignon par Emmanuel Macron… Une dystopie rendue possible par un vote d’adhésion de larges fractions de la population, décrypte le politologue Vincent Tiberj dans un entretien à Rue89 Bordeaux. Mais ce scénario n’est pas encore écrit, veulent croire les Bordelais.e.s qui se sont rassemblés nombreux lundi soir, au moment où les partis de gauche et écologiste relancent un front populaire. Le combat commence.
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