Actualités taxe spéciale d'équipement

Photo : Killiam G/Flickr/CC

Et un, et deux, et trois impôts : qui va payer la construction des LGV Toulouse – Bordeaux – Dax ?

A l'initiative d'élus et d'associations, un rassemblement aura lieu ce samedi à Bordeaux contre les projets de LGV et leur "financement déraisonnable et inéquitable". En effet, les habitants de 2340 communes d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine paieront en 2023 une taxe spéciale d'équipement, tout comme les entreprises, qui s'acquitteront aussi d'un complément de CFE, et les touristes, mis à contribution en 2024 via la taxe de séjour. La Société du Grand Projet du Sud-Ouest compte ainsi lever un petit pactole pour les 40 prochaines années.

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LGV Bordeaux-Toulouse/Dax : combien reste-il vraiment à payer ?

Photo : SB/rue89 Bordeaux

Il y a 2 ans

LGV Bordeaux-Toulouse/Dax : combien reste-il vraiment à payer ?

Après les votes des collectivités locales fin 2021, la question du financement des LGV depuis Bordeaux vers Toulouse et Dax reste pendante. Pourfendeur du projet, Pierre Hurmic, le maire de Bordeaux, évalue à 769 millions d'euros la somme manquante à la charge des collectivités locales, chiffres à l'appui, bien plus donc que les 200 millions avancés sans plus de précisions par les Régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie. Le niveau de contribution de l'Union européenne et des futures taxes interrogent également. Éléments de réponses.

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L’improbable mécano financier des LGV Bordeaux-Dax-Toulouse

Photo : Masakazu Matsumoto/Flickr/CC

Il y a 2 ans

L’improbable mécano financier des LGV Bordeaux-Dax-Toulouse

La Région Nouvelle-Aquitaine votera ce lundi un plan de financement de GPSO (grand projet ferroviaire du Sud-Ouest) engageant son soutien à hauteur de 1,14 milliard d'euros, dont 710 millions d'aides directes. Le reste doit provenir de recettes fiscales, dont une taxe sur les bureaux encore hypothétique. Il manque par ailleurs plusieurs centaines de millions d'euros des collectivités locales et de l'Europe pour boucler un tour de table à 14 milliards d'euros. Des "impasses" financières qui inquiètent Alain Rousset.

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