
Photo : SB/Rue89 Bordeaux
Ce gisement invisible de plus de 300 000 logements vides ou sous-occupés en Gironde (2/2)
Des raisons sociales et écologiques – faire avec l'existant pour loger tout le monde, notamment une population vieillissante, tout en préservant l'environnement – animent le débat sur les logements vacants ou sous occupés. Ceux-ci représentent 38% du parc en Gironde, voire les deux tiers dans certaines villes disposant de nombreuses résidences secondaires. Si les initiatives restent embryonnaires, la lutte contre le gaspillage immobilier commence à s'imposer comme un enjeu majeur. Deuxième volet de cette enquête, et fin de notre dossier "Bâtir la ville sur la ville".
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