Il y a 70 ans, les Alliés libéraient Royan et le Médoc, l’une des poches de l’Atlantique défendues jusqu’au bout par les Allemands. La prise de ces forteresses du Reich, alors que celui-ci était sur le point de capituler, s’est soldée par un « grand gâchis », estime l’historien Stéphane Simonnet : des milliers de morts, et des champs de ruine, à l’image du catastrophique bombardement de Royan par les Alliés.
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