Au printemps dernier, la crainte était sur les lèvres de tous les étudiants mobilisés contre la loi ORE. Elle est cet automne dans un coin de la tête des lycéens aujourd’hui dans la rue : que le système universitaire devienne « à deux vitesses ». À Bordeaux, cet écart se traduit dans la ligne affichée par les deux universités : l’une, Bordeaux Montaigne, disant refuser la sélection, l’autre, l’Université de Bordeaux, voulant en faire un outil pour « la réussite des étudiants ». Derrière les déclarations de façade, où vont les facs bordelaises ? Enquête.
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