Rubrique expression libre : (j'ecris ici car pas sûr de trouver plus loin la possibilité, vu la fréquence de vos questions fermées (oui/non) qui de plus ne laissent pas d'option "ne sait pas", ou "sans avis")
Je suis catastrophé de la complexité de la procédure pour laisser un commentaire : la version antérieure à 2016 était claire, intuitive et conviviale, les échanges étaient nombreux et les débats possibles. La pauvreté actuelle des quelques commentaires et leur (très faible) nombre auraient depuis bien longtemps interpeller les gestionnaires.... Quelle crédibilité désormais à attendre d'un média qui se voulait au départ interactif ?
Bonjour
Merci d'avoir rempli le questionnaire.
Une rubrique "expression libre" nécessiterait une modération que nous ne serons pas en mesure d'assurer. Trop complexe juridiquement et trop chronophage.
Par ailleurs, la procédure pour publier des commentaires invite à une inscription et selon les paramètres de votre ordinateur, vous pouvez rester connecté sans avoir à vous identifier à chaque fois. Cette procédure permet d'éviter les commentaires spams et elle est adoptée par la plupart des sites d'information.
Quand à nos questions, "fermées" selon vous parce que les réponses se limitent à "oui" ou "non", vous oubliez un choix : ne pas y répondre si pas d'avis ou autre, car aucune réponse est obligatoire.
Bonne journée
Au sujet de la tribune libre impossible à offrir compte tenu de ce qu’il faudrait un modérateur pour valider les articles proposés, il faut noter que les commentaires ne semblent pas faire l’objet de modération - est-ce donc si différent ?
Il me semble que le travail de modération pourrait facilement être effectué par un stagiaire en journalisme consciencieux et efficace, qui suivrait rigoureusement une charte que l’équipe de rédaction avec l’approbation du lectorat pourrait imposer.
Je partage l’opinion de Philippe qui souligne le manque d’interactivité du site, tout en ayant pleine conscience des moyens très limités du journal.
Toujours le même problème somme toute. La logique angélique qui tend à nier les lois du marché finit par laisser hélas le principe de réalité s’imposer sur le principe de plaisir.
616 vues pour cet article au bout de quelques jours...
Tout est dit.
Mieux vaut devenir juste une autre page Facebook. Ça coûtera moins d’oseille et ça ne changera pas grand chose. Le lectorat finalement est plus important sur le réseau social que sur le site propre.
Ou alors envoyer les CVs des journalistes à la Pravda et inviter les lecteurs à les suivre.
Je suis catastrophé de la complexité de la procédure pour laisser un commentaire : la version antérieure à 2016 était claire, intuitive et conviviale, les échanges étaient nombreux et les débats possibles. La pauvreté actuelle des quelques commentaires et leur (très faible) nombre auraient depuis bien longtemps interpeller les gestionnaires.... Quelle crédibilité désormais à attendre d'un média qui se voulait au départ interactif ?
Merci d'avoir rempli le questionnaire.
Une rubrique "expression libre" nécessiterait une modération que nous ne serons pas en mesure d'assurer. Trop complexe juridiquement et trop chronophage.
Par ailleurs, la procédure pour publier des commentaires invite à une inscription et selon les paramètres de votre ordinateur, vous pouvez rester connecté sans avoir à vous identifier à chaque fois. Cette procédure permet d'éviter les commentaires spams et elle est adoptée par la plupart des sites d'information.
Quand à nos questions, "fermées" selon vous parce que les réponses se limitent à "oui" ou "non", vous oubliez un choix : ne pas y répondre si pas d'avis ou autre, car aucune réponse est obligatoire.
Bonne journée
Il me semble que le travail de modération pourrait facilement être effectué par un stagiaire en journalisme consciencieux et efficace, qui suivrait rigoureusement une charte que l’équipe de rédaction avec l’approbation du lectorat pourrait imposer.
Je partage l’opinion de Philippe qui souligne le manque d’interactivité du site, tout en ayant pleine conscience des moyens très limités du journal.
Toujours le même problème somme toute. La logique angélique qui tend à nier les lois du marché finit par laisser hélas le principe de réalité s’imposer sur le principe de plaisir.
Tout est dit.
Mieux vaut devenir juste une autre page Facebook. Ça coûtera moins d’oseille et ça ne changera pas grand chose. Le lectorat finalement est plus important sur le réseau social que sur le site propre.
Ou alors envoyer les CVs des journalistes à la Pravda et inviter les lecteurs à les suivre.