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La crise provoquée par la pandémie de Covid-19 est-elle un prémisse de l’effondrement de nos sociétés fondées sur les énergies fossiles et les ressources non renouvelables ? Elle a en tous cas révélé, si besoin était, les inégalités qui y prospèrent, et « enfoncé quelques dogmes » sur la mondialisation, estime Philippe Bihouix, ingénieur et directeur adjoint de l’Arep, un bureau d’études filiale de la SNCF. L’auteur bordelais de « L’âge des low-tech » et du « Bonheur était pour demain » (tous deux publiés au Seuil) estime que croissance verte et Green New Deal ne sont que poudre aux yeux face à l’urgence écologique. Regrettant le manque de travaux sur une économie de la décroissance, il plaide pour davantage de dirigisme, en expérimentant pour cela des outils démocratiques alternatifs.
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