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L’agglomération bordelaise traverse depuis samedi un pic de pollution atmosphérique, aggravé par les conditions météo. La chute des températures a entraîné un usage plus important du chauffage, notamment au bois, et l’air froid maintenant les polluants à basse altitude. Pour l’heure, seules des mesures de limitation des vitesses sont mises en place par la préfecture de la Gironde. Et les particules PM2.5, les plus dangereuses, ne font pas l’objet de procédures d’alerte spécifique, alors qu’elles sont responsables de 600 morts par an sur la métropole.
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