Média local avec zéro milliardaire dedans

Angela, un nom de code efficace contre le harcèlement de rue à Bordeaux ?

Un an après sa mise en place à Bordeaux, le dispositif « Demandez Angela » s’est plutôt bien développé. Destiné à protéger les victimes de harcèlement de rue en leur offrant la possibilité de se réfugier dans des établissements partenaires, de jour comme de nuit, il a permis une vingtaine de signalements. Mais est-il suffisamment visible ?

Édition abonnés

Amandine Briand

Publié le 26 juin 2022 ·

10 minutes

Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous

Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Je m’abonne

Abonnez-vous maintenant pour suivre l’actualité locale.

Déjà abonné ?

Connectez-vous

L’investigation locale à portée de main.

Abonnez-vous et profitez d’un accès illimité à Rue89Bordeaux. Annulez quand vous voulez.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Choisissez votre formule :

Tarif découverte

5€ 1 € le premier mois puis 5€ par mois

S’abonner maintenant

Tarif annuel

60€ 50 € pour un an

S’abonner maintenant

-16%

Tarif soutien

5€ 10 € par mois

S’abonner maintenant

Fermer

Voir tous les articles

Autres mots-clés :

#Angela #Harcèlement #nuit #Société #Stop harcèlement de rue

À propos de l’auteur de l’article :

Amandine Briand

Amandine Briand est journaliste indépendante et formatrice, récemment installée dans la région bordelaise.

Voir les articles

À lire ensuite

Virginie Calmels : n’est pas Angela Merkel qui veut !

Photo : XR/Rue89 Bordeaux

Il y a 9 ans

Virginie Calmels : n’est pas Angela Merkel qui veut !

Avec une campagne qui a tardé à investir le terrain, qui a affiché des positions ambiguës, et qui n'a pas su fédérer les durs et les modérés, Virginie Calmels n'a pas conduit son camp au pouvoir lors des élections régionales. De "façon intuitive", Hubert Bonin analyse les erreurs de "la dame de faire".

Billet

Pour les boîtes de nuit, la sécurité à tout prix ?

Photo : AC/Rue89 Bordeaux

Il y a 6 mois

Pour les boîtes de nuit, la sécurité à tout prix ?

Si des discothèques ont glissé la clef sous la porte depuis les restrictions sanitaires, ce spectre a précipité la mutation des établissements bordelais, poussés à assurer la sécurité, notamment du public féminin. En période post-Covid, elles font aussi face à la concurrence des bars dansants, plus attractifs économiquement pour les étudiants. Les nouvelles facettes de la nuit à Bordeaux, épisode 1/2.

Édition abonnés

Il y a 7 mois

Extinction de l’éclairage public : Bordeaux a-t-elle peur du noir ?

Un an après le début de l'expérimentation d'extinction partielle de l'éclairage public à Bordeaux entre 1h et 5h du matin, l'heure est au bilan. Mercredi 11 mars, lors d'une réunion publique à l'Athénée, une centaine d'habitants ont témoigné de leurs craintes, voire de leurs mauvaises expériences quant à l'insécurité, même si les statistiques ne montrent pas une hausse de la délinquance.

Reportage

Angela, un nom de code efficace contre le harcèlement de rue à Bordeaux ?

Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Tarif découverte

Tarif annuel

Tarif soutien

À lire ensuite

Virginie Calmels : n’est pas Angela Merkel qui veut !

Pour les boîtes de nuit, la sécurité à tout prix ?

Extinction de l’éclairage public : Bordeaux a-t-elle peur du noir ?

Signaler une faute