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Tous les résultats du premier tour des élections législatives 2022 en Gironde

Suivez ici les élections législatives des 12 circonscriptions girondines. La rédaction de Rue89 Bordeaux est mobilisée pour un direct : conditions de vote, réactions, commentaires et résultats de ce premier tour.

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La liste définitive des qualifié.e.s par circonscription

Résultat définitif pour Circonscription n°3 de la Gironde :

Résultat définitif pour Circonscription n°2 de la Gironde :

Pour la Nupes, la soirée s’annonce sous des auspices favorables

À 22h30, si tous les résultats ne sont pas définitifs, la Nupes arrive en tête sur la quatrième circonscription, le député sortant Alain David ayant récolté plus de 40% des suffrages. Sur la 12e circonscription, Mathilde Feld est qualifiée pour le second tour avec 26,94% des voix. Elle devance de deux points le candidat de la majorité, Pascal Lavergne.

Dans la 9e circonscription, le candidat Nupes, Sacha André, récolte plus de 24% des suffrages, devancé par la députée sortante de la majorité Sophie Mette (28,75% des suffrages). Dans la 7e circonscription, le candidat de l’union des gauches, Jean-Renaud Ferran talonne de deux points la députée sortante de la majorité Bérangère Couillard (36,27%). Même schéma dans la 6e circonscription où la candidate Nupes, Vanessa Fergeaux-Renaux arrive deuxième, derrière le député sortant Éric Pouillat (Ensemble !) qui récolte plus de 34% des voix.

Dans le Libournais (5e circonscription), le candidat de la Nupes, Olivier Maneiro se classe deuxième derrière le candidat RN, Grégoire de Fournas. À 23h, ce dernier arrive en tête avec 28,55% des suffrages, soit un écart de plus de deux points avec son adversaire de la Nupes. Le député sortant, Benoit Simian, termine quand à lui avec 3,68%.

Les résultats ne sont pas encore connus pour la 3e circonscription, celle de Loïc Prud’homme, mais d’après les premières estimations des bureaux de vote, il devancerait de 15 points Fabien Robert, conseil municipal et candidat de la majorité.

« On ne peut minorer le problème de l’abstention, mais c’est la première fois qu’un parti présidentiel n’arrive pas en tête aux élections législatives. La mobilisation réalisée pour l’union de la gauche, après la présidentielle, est en train de payer. Il faudra rester mobilisé pour le second tour », commente Marlène Tchikaya, suppléante de Loïc Prud’homme.

Marlène Tchikaya, entourée de Garance Bousquin, attachée parlementaire du député Loïc Prud’homme, et de Guillaume Latrille, conseiller municipal d’opposition à Villenave d’Ornon

Résultat définitif pour Circonscription n°1 de la Gironde :

2e circo : l’écologiste Nicolas Thierry loin devant à Bordeaux

Nicolas Thierry, candidat de la Nupes est selon des résultat partiels loin devant Catherine Fabre (LREM), avec 45% contre 33,3%. La députée sortante a d’ores et déjà appelé à la mobilisation de l’électorat du président de la République.

Elle estime que Jean-Luc Mélenchon et l’extrême gauche serait « générateur de blocage et de désordre » et demandé qu’Emmanuel Macron « ait une majorité forte pour pouvoir avancer sur le pouvoir d’achat et transition écologique ».

Thomas Cazenave, candidat LREM donné en tête dans la 1re circonscription, est allé dans le même sens. Il a appelé les Bordelais qui « ne se reconnaissent pas dans la dérive autoritaire de la gauche populiste » et de Jean-Luc Mélenchon à voter pour les candidats de la majorité présidentielle.

Lors d’un vif débat sur TV7, l’écologiste a accusé les macronistes d’user de caricatures et de « calomnie » contre le programme de la Nupes :

« Vous nous donnez des leçons d’écologie alors que la majorité présidentielle a été condamnée deux fois par la justice française pour inaction climatique, et a reculé sur l’interdiction du glyphosate et des néonicotinoïdes, les pesticides tueurs d’abeille. »

Résultat définitif pour Circonscription n°10 de la Gironde :

Résultat définitif pour Circonscription n°12 de la Gironde :

Résultat définitif pour Circonscription n°6 de la Gironde :

Résultat définitif pour Circonscription n°11 de la Gironde :

Résultat définitif pour Circonscription n°5 de la Gironde :

Résultat définitif pour Circonscription n°4 de la Gironde :

Duel serré à Pessac entre Bérangère Couillard (Lrem) et Jean-Renaud Ferran (Nupes)

Avec 36,27%, la députée sortante Bérangère Couillard (LREM) devance de peu le candidat de la NUPES, l’insoumis Jean-Renaud Ferran, à 34,51%. Tous deux sont qualifiés pour le deuxième tour dans cette 7e circonscription (Pessac, Gradignan).

Résultat définitif pour Circonscription n°8 de la Gironde :

Edwige Diaz (Rassemblement national) largement devant Véronique Hammerer dans le Blayais

Edwige Diaz est en ballottage très favorable avec 39,42% des voix dans la 11e circonscription (Nord Gironde) et affrontera la députée sortante Véronique Hammerer (LREM), qui devance de moins de 500 voix Mathieu Caillaud, de la NUPES (23,72% contre 22,79%). La gauche devra donc arbitrer un duel entre la majorité présidentielle et l’extrême droite.

Résultat définitif pour Circonscription n°7 de la Gironde :

Sophie Mette (MoDem) et Sacha André (Nupes) au deuxième tour dans la 9e circonscription

La députée sortante Sophie Mette (MoDem), représentante de la majorité présidentielle, réalise 28,75% au premier tour des législatives dans la 9e circonscription (Sud Gironde), et devance Sacha André (France insoumise), investi par la NUPES (nouvelle union populaire écologique et sociale), qui obtient 24,23%.

Résultat définitif pour Circonscription n°9 de la Gironde :

Mathilde Feld (Nupes) et Pascal Lavergne (Lrem) qualifiés dans la 12e circonscription

Mathilde Feld Photo : DR

La candidate de la Nupes (nouvelle union populaire écologique et sociale) Mathilde Feld sort en tête du premier tour dans la 12e circonscription (Endre-Deux-Mers) avec 26,94% des voix. Elle devance l’ancien député (LREM) Pascal Lavergne (24,58%).

2e circo : au bureau de vote de l’école André-Meunier, il y a « déconnexion » de certains électeurs

Dans la cour de l’école André Meunier, sous un soleil de plomb, Augustin, skate à la main, sort tout juste du bureau. À 22 ans cet étudiant en faculté de sociologie a voté pour Guy Dupont, le candidat de Lutte Ouvrière :

« Je trouve la plupart des politiques en dehors de la réalité. Ils ne représentent pas ce qu’est la société. Je comprends le désintérêt qu’il peut y avoir pour ces élections, notamment pour les jeunes. Quand on voit que des hommes accusés de viol restent au gouvernement, il y a de quoi être en colère. Si je vote, c’est pour exprimer un ras-le-bol vis-à-vis d’une classe politique déconnectée. »


Dans l’un des bureaux de vote, les assesseurs s’attendaient à une forte abstention. Mais l’un d’eux s’étonne de la « déconnexion » de certains électeurs :

« On a vu arriver une jeune fille qui a appelé sa mère pour lui demander pour quel candidat elle devait voter. Un autre jeune homme ne connaissait pas les candidats en lice. C’est un peu déroutant. »


Pour Virginie, 43 ans, qui s’apprête à aller voter, mais ne souhaite pas dire pour qui, aller voter pour élire les députés est « essentiel » :

« Ce sont, normalement, des politiques proches du terrain, qui connaissent les préoccupations des citoyens. Après je comprends aussi ceux qui ne vont pas voter. Pendant la campagne, les candidats nous font miroiter les meilleures intentions, mais dans les faits, c’est rarement le cas. »

3e circo : au bureau de l’école Cazemajor, le vote n’a pas attiré les foules

Cours de la Somme, Laura et Manon se dirigent vers leur bureau de vote, situé dans l’école Cazemajor, dans le quartier Nansouty. Paillettes sur le visage et tenues colorées, elles iront à la Gaypride après avoir déposé leurs bulletins dans l’urne. Pour Laura, 25 ans, en recherche d’emploi, son choix est fait depuis longtemps :

« Je vais voter pour le candidat de la Nupes, Loïc Prud’homme. Après le score de Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, je garde espoir que les choses puissent bouger au niveau de l’assemblée. Il y a forcément des différences entre les candidats des différents partis de gauche, mais peu importe. Ce qui se passe aujourd’hui, sur la question climatique notamment, est trop grave. C’est ce qui me motive à voter pour la Nupes. »


Dans le bureau numéro 1 de l’école Cazemajor, les isoloirs semblent avoir été délaissés au profit des plages. À midi, le taux de participation s’élevait à 16,45%, soit deux points en dessous de la moyenne nationale. Pour l’un des assesseurs présents dans le bureau numéro 2, la météo n’explique pas tout :

« Je pense qu’il y a un désintérêt global pour ces élections. Les gens doivent penser que c’est la continuité de l’élection présidentielle et se montrent peu intéressés. C’est regrettable car c’est une élection tout aussi importante pour le pays. »


Au-delà des électeurs, la tenue des bureaux de vote n’a pas attiré les foules. Dans le bureau numéro 2, une assesseure explique être venue après avoir vu un appel de la mairie, juste avant le week-end :

« C’est sûr que ça peut être prenant, il faut être mobilisé toute une journée. Mais c’est nécessaire à la vie démocratique. »

La 2e circo : « je vote Nupes et je ne connais pas son candidat »

Guillaume, la quarantaine, Mary-Lou, la trentaine, et June, la cinquantaine, ont tous les trois voté pour la Nupes au bureau de Naujac sans connaître son candidat sur la 2e circo, Nicolas Thierry. Ayant tous voté pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour de l’élection présidentielle, ils espèrent cette fois ci renverser la tendance.

Guillaume, qui a voté « Macron pour dégager Le Pen » au deuxième tour, est « pourtant inquiet pour la retraite ». Tandis que Mary-Lou est « mécontente du bilan de la majorité ». « Je vote pour un contre-pouvoir », avoue quant à elle June, qui « espère qu’on arrivera à une vraie résistance pour empêcher Macron de tout décider tout seul ».

C’est justement « pour que le travail de la majorité puisse aller jusqu’au bout » que Michel a donné sa voix à Catherine Fabre, la député sortante de la majorité. « Les gens ne se rendent pas compte du travail accompli » rapporte ce restaurateur. « La gestion économique de la crise a été exemplaire pour les petits chefs d’entreprise » poursuit ce quarantenaire qui cite en exemple l’Espagne ou l’Italie où « beaucoup de collègues ont mis la clef sous la porte ».

Les ambitions du Rassemblement national en Gironde

11e circo, Edwige Diaz est bien partie pour être qualifiée

Carton également pour le Rassemblement national dans la 11e circonscription où Edwige Diaz est en tête de nombreuses communes. Ces scores lui permettraient d’être qualifiée déjà pour le second tour.

De Fournas, candidat RN, en tête de nombreuses communes dans la 5e circonscription

Le Porge, Sainte-Hélène, Brach, Pauillac, Sainte-Estèphe… le candidat du Rassemblement national, Grégoire de Fournas arrive en tête dans de nombreuses communes du Médoc. Les résultats de la 5e circonscription ne sont pas encore connus. Sur les 65 022 inscrits dans cette circo, il y a seulement 49,08% de votants.

La 4e circo, historiquement socialiste

A midi, au bureau n°6 à Artigues, situé au dojo du Pinsan, le taux de participation au 1er tour des élections législatives 2022 était 5 points supérieur à la moyenne de la France métropolitaine (18,43 %). Anne vient tout juste de voter « pour l’union de la gauche mais pas pour son candidat [le député sortant Alain David, NDLR] ». Pour cette quadra, le socialiste « fait partie de l’ancienne génération » et « il est temps pour lui de laisser la place à aux jeunes qui ne manquent pas sur la scène de la gauche locale ».

Paul lui, 35 ans, a voté pour Mélissa Karaca, la candidate de la majorité présidentielle. La Lormontaise de 28 ans, chargée de mission au ministère de l’Économie et des Finances et figure des Jeunes avec Macron (JAM), est, selon cet ingénieur informatique, « le seul espoir de porter les difficultés de la 4e circo directement à l’attention du président [de la république] ».

La quatrième circonscription de la Gironde englobe les communes populaires de Lormont, Floirac et Cenon. Elle a toujours porté au Palais-Bourbon ses candidats socialistes (dont un certain Philippe Madrelle). En 2017, face à la vague En Marche, Alain David a tenu bon (de justesse !) et remporté le poste avec 50,91 % des suffrages exprimés face au marcheur Aziz S’Kalli, arrivé pourtant premier au premier tour avec 31,59 % des suffrages, contre 16,31 % pour le socialiste.

La Nupes et Ensemble ! au coude-à-coude

La Nupes et Ensemble ! au coude-à-coude au premier tour, selon les premières estimations, sur fond d’abstention record au niveau national. Les estimations des participations sont entre 52,5% et 53% selon les premières projections des instituts de sondage.

Mode d’emploi de la carte ci-dessus

Les résultats arrivent au fur et à mesure sur la carte. Vous pouvez y accéder en cliquant sur les circonscriptions. Les résultats s’affichent dans une fenêtre flottante et sur la colonne de gauche. Pour la version mobile, les résultats s’affichent sous la carte. Vous pouvez également avoir les résultats par ville avec la fonction recherche en haut à gauche de la carte.

Les élus d’opposition à Bordeaux se sont-ils mobilisés pour tenir les bureaux de vote ?

Le coup de gueule de Myriam Eckert et de la mairie a-t-il été entendu ? L’élue du collectif Bordeaux en Luttes avait été la seule conseillère municipale d’opposition à la mairie de Bordeaux à présider un bureau de vote lors du second tour de l’élection présidentielle. Or la militante Gilet jaune rappelait que les fonctions de président et d’assesseur étant dévolues par la loi, tout refus de la part des élus pouvait entraîner une révocation de leur mandat par le tribunal administratif.

Adjointe au maire en charge de l’administration, Delphine Jamet en avait alors profité pour « rappeler à nouveau cette obligation légale qui incombe à tout élu de tenir un bureau de vote, au risque d’entraîner une situation dite de démission ».

« Nous comptons donc sur tous les élus pour tenir des bureaux de vote lors élections législatives. Ils s’y sont engagés lors de la conférence des présidents de groupe de préparation de ce conseil. Certains ont déjà envoyé leurs demandes. »


A Rue89 Bordeaux, la mairie indique que six conseillers municipaux de l’opposition (sur 17) se sont déclarés volontaires pour tenir un bureau de vote à l’occasion de ce premier tour, d’autres s’étant positionnés pour le second tour. Elle précise en outre avoir « exempté les quatre élus municipaux candidats ». Il s’agit de Catherine Fabre, Thomas Cazenave, Fabien Robert et Pierre de Gaétan Njikam.

Et si un candidat n’a pas ses bulletins au bureau de vote ?

Dans certains bureaux de vote, des candidats n’ont pas fourni de bulletins. Sont-ils disqualifiés ? « Non » affirme la préfecture de la Gironde :

« Il y a plusieurs possibilité, ou le candidat a mis le bulletin en ligne pour que l’électeur l’imprime, ou l’électeur a la possibilité d’écrire le nom du candidat sur un papier. La seule condition est que le papier soit blanc, qu’il pèse entre 60 et 80 grs au mètre carré, qu’il soit écrit avec une seule couleur d’encre, et qu’il soit au format légal 105×148 mm. » 


De plus, tout bulletin de vote imprimé à l’occasion de l’élection des députés doit comporter, à la suite du nom du candidat, le nom de la personne appelée à remplacer le candidat élu dans les cas de vacance prévus par l’article LO176, précédé ou suivi de l’une des mentions suivantes : « remplaçant » ou « suppléant ». Le nom du remplaçant doit être imprimé en caractères de moindres dimensions que celui du candidat. Les bulletins ne peuvent pas comporter d’autres noms de personne que celui du candidat ou de son remplaçant éventuel.

Quels sont les enjeux des législatives en Gironde ?

En 2017, le tout nouveau parti d’Emmanuel Macron, En Marche, avait raflé 9 des 12 circonscriptions de Gironde, plus une autre revenant à son allié du MoDem, le parti de François Bayrou. Seuls Loïc Prud’homme (France insoumise) et Alain David (Parti socialiste) avait empêché la majorité présidentielle de réaliser le grand chelem.

5 ans après, la donne a bien changé. La majorité présidentielle, réunie sous la bannière Ensemble ! (La République en Marche, le MoDem et Horizon, le parti d’Edouard Philippe) a réinvesti 7 sortants de ses 10 sortants, et lancé quelques poids lourds locaux dans la bataille (Thomas Cazenave et Fabien Robert à Bordeaux notamment). Mais elle risque d’avoir du mal à conserver plusieurs de ces sièges.

Si on en croit les résultats des élections intermédiaires et de la présidentielle, certains députés macronistes sont clairement menacés par la Nupes (nouvelle union populaire, écologique et sociale), notamment Catherine Fabre dans la très symbolique 2e circonscription de Bordeaux centre, convoitée par l’écologiste Nicolas Thierry.

Edwige Diaz (Rassemblement national) rêve quant à elle de battre Véronique Hammerer dans le Nord Gironde et de devenir la première députée d’extrême droite de Gironde, voire même de tout l’ouest de la France, depuis 1986.

Notre article sur les trois dossiers chauds des législatives en Gironde

Trois gros dossiers portés par l’État en Gironde pourraient peser lourd dans les résultats des législatives. Dans le Sud, seul le Rassemblement national défend les LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax, auxquelles s’oppose même la députée sortante, en contradiction avec la ligne de la majorité présidentielle. Dans le Nord, c’est la Nupes qui plaide pour la sortie du nucléaire, et donc la fermeture de la centrale du Blayais, quand l’élue LREM plaide pour y construire un EPR. Enfin, la création d’un centre de rétention administrative à Pessac, qui serait le plus grand de France, suscite une levée de boucliers, à droite sur le site retenu, à gauche sur l’utilité même du projet.

A 17h, le taux de participation en Gironde toujours faible

35,67% de participation en Gironde, c’est 6 points de moins qu’en 2017, et bien derrière le taux actuel de l’Hexagone qui se monte à 39,42% (contre 40,75% en 2017).

https://twitter.com/PrefAquitaine33/status/1536000799574220801

A 17h, le taux de participation à Bordeaux rattrape celui de 2017

https://twitter.com/Bordeaux/status/1536009464842690561

A Bordeaux, les électeurs ont jusqu’à 20h pour voter

A Bordeaux, le taux de participation à midi était de 17,30%, en baisse par rapport à 2017 où il affichait 19,73% à la même heure.

https://twitter.com/Bordeaux/status/1535934806286077954

Bonjour
Bienvenue sur notre direct qui démarre à 17h.
En attendant, à midi, pour le premier tour des législatives 2022 en Gironde, le taux de participation estimé par la Préfecture dans le département est de 14,82 % contre 19,27 % au 1er tour des élections législatives en 2017, 19,74 % en 2012 et 25,61 % en 2007 à la même heure.

https://twitter.com/PrefAquitaine33/status/1535925059080052736


#législatives 2022

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