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Handicapée suite à la pose d’implants mammaires, Sophie dénonce une « omerta » sur la chirurgie esthétique
Handicapée par les séquelles de la pose de plusieurs modèles de prothèses mammaires, cette habitante de la région bordelaise ne peut plus travailler. Marcher, se baisser, rester concentrée : tout est devenu compliqué. Engagée dans une association, elle, et d'autres victimes, ont fait interdire en France en 2019 treize modèles d’implants mammaires. Mais elle peine à être indemnisée à la hauteur des dommages subis. En attente du verdict le 19 janvier dans un des procès de l’affaire PIP, elle veut alerter sur les risques de la chirurgie esthétique.
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