Média local avec zéro milliardaire dedans

2023, année de tous les dangers pour les entreprises girondines ?

Une enquête régionale présentée par la Banque de France Nouvelle-Aquitaine et la CCI Bordeaux-Gironde conclut à « une incertitude élevée et persistante » pour l’économie locale en 2023. Des perspectives inquiétantes après une année 2022 qui a connu une hausse des défaillances et des radiations de petites et moyennes entreprises. Selon son évolution, cette situation aura un impact sur l’emploi en Gironde, département qui affiche un taux de chômage de 6,6%, un des plus faibles de la région.

Édition abonnés

Walid Salem

Publié le 13 février 2023 ·

9 minutes

Cet article fait partie de l’édition abonnés. Pour lire la suite, profitez d’une offre découverte à 1€.

Je teste sans engagement

Contribuez à consolider un média indépendant à Bordeaux, en capacité d’enquêter sur les enjeux locaux.

Paiement sécurisé

Sans engagement

Abonnez-vous maintenant pour suivre l’actualité locale.

Déjà abonné ?

Connectez-vous

L’investigation locale à portée de main.

Abonnez-vous et profitez d’un accès illimité à Rue89Bordeaux. Annulez quand vous voulez.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Choisissez votre formule :

Tarif découverte

5€ 1 € le premier mois puis 5€ par mois

S’abonner maintenant

Tarif annuel

60€ 50 € pour un an

S’abonner maintenant

-16%

Tarif soutien

5€ 10 € par mois

S’abonner maintenant

Fermer

Voir tous les articles

Autres mots-clés :

#banque de france #Bordeaux #CCI Bordeaux Gironde #Économie #Gironde #Nouvelle Aquitaine #viticulture

À propos de l’auteur de l’article :

Walid Salem

Co-fondateur et directeur de Rue89 Bordeaux

@walidsalew

Voir les articles

À lire ensuite

Il y a 3 ans

120000 € d’amende pour le Crédit municipal de Bordeaux mis sur le compte de l’ère Juppé-Florian

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution de la Banque de France a infligé un blâme et une amende de 120000 € au Crédit Municipal de Bordeaux. Pour Pierre Hurmic, la ville "a échappé au pire" : la fin du mont-de-piété bordelais fondé en 1801 et une amende plus lourde. Directement en cause, l'ancienne équipe minimise la sanction et demande un conseil dédié à cette question.

Abonnés

Crédit Municipal de Bordeaux, la « descente aux enfers » du mont-de-piété

Photo : SB/Rue89 Bordeaux

Il y a 3 ans

Crédit Municipal de Bordeaux, la « descente aux enfers » du mont-de-piété

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) de la Banque de France, gendarme du secteur bancaire, pourrait infliger une amende de plus de 200000 euros au Crédit Municipal de Bordeaux à cause de "nombreux et graves manquements", dont des prêts généreusement accordées à certaines personnalités endettées. La mairie de Bordeaux, qui contrôle l'établissement à 100%, a pointé les responsabilités de l'équipe municipale précédente dans cette "descente aux enfers". Une plainte contre X pour abus de confiance, prise illégale d’intérêt et escroquerie, a été déposée.

Abonnés

Crédit Municipal : Nicolas Florian avait autorisé le prêt litigieux de 8,7 millions d’euros

Photo : SB/Rue89 Bordeaux

Il y a 4 ans

Crédit Municipal : Nicolas Florian avait autorisé le prêt litigieux de 8,7 millions d’euros

[INFO RUE89 BORDEAUX] Selon un document interne au Crédit Municipal, transmis à Rue89 Bordeaux, le maire a bien validé un prêt de 8,7 millions d'euros à l'homme d'affaires Pierre Reynaud, avant que la "banque des pauvres" ne fasse machine arrière. Cela contredit la version de la Ville d'un véto à cette opération à haut risque, qui aurait engagé près du tiers des fonds propres de l'établissement public.

Édition abonnés

2023, année de tous les dangers pour les entreprises girondines ?

Cet article fait partie de l’édition abonnés. Pour lire la suite, profitez d’une offre découverte à 1€.

Tarif découverte

Tarif annuel

Tarif soutien

À lire ensuite

120000 € d’amende pour le Crédit municipal de Bordeaux mis sur le compte de l’ère Juppé-Florian

Crédit Municipal de Bordeaux, la « descente aux enfers » du mont-de-piété

Crédit Municipal : Nicolas Florian avait autorisé le prêt litigieux de 8,7 millions d’euros

Signaler une faute