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D’une relation « toxique » à des violences conjugales que l’accusé reconnaît « à demi-mot »

Au tribunal, comparaissait Abdel, accusé de violences conjugales sur sa compagne, Jenny. Ces faits n’auraient pas dû se reproduire : il était sous contrôle judiciaire et avait l’interdiction de la rencontrer. A la partie civile, se sont aussi constitués deux policiers qui l’accusent de menace de mort et d’outrage.

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Julie Malfoy
Publié le   ·  
5 minutes
D’une relation « toxique » à des violences conjugales que l’accusé reconnaît « à demi-mot »

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#alcool#comparution immédiate#Société#tribunal correctionnel de Bordeaux#violences conjugales
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JM Julie Malfoy
Julie Malfoy

Des papiers, des photos et des illustrations. Passion enquête, exclusion et monde carcéral.

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