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La replantation des 30000 hectares de forêt brûlés l'an dernier en Gironde relance le débat sur la monoculture du pin maritime dans les Landes. Pour des raisons de biodiversité, de résilience aux parasites et aux incendies, les crédits de l'Etat seront versés aux propriétaires sous condition de diversification des espèces d'arbres, au profit de feuillus (chênes, bouleaux...). Mais le pin, résistant au froid comme à la sécheresse, devrait rester largement majoritaire. Suite de notre série "La forêt des Landes, l’an 1 après les cendres".
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