C’est un peu une arlésienne au sein des débats politiques bordelais sur la sécurité. Demandé par les oppositions de la droite et du centre, rejeté par la majorité municipale, l’armement de la police municipale est à nouveau sur le devant de la scène médiatique.
Le 21 mai dernier, les policiers municipaux ont déposé une alarme sociale, une procédure de prévention des conflits qui permet quelquefois de les éviter. Portées par la CGT, des doléances ont été transmises au maire.
« Il y a des problèmes d’ordre organisationnel, pour améliorer le matériel et les locaux notamment, mais la question du port d’arme létale est centrale », confie Jérôme Desorthes, représentant CGT du personnel à la mairie de Bordeaux.
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