Législatives : quels visages pour le « nouveau front populaire » en Gironde ?
Après l’accord de principe trouvé lundi soir entre socialistes, communistes, insoumis et écologistes sur des candidatures communes dans toutes les circonscriptions, l’heure est aux négociations sur la répartition de celles-ci entre les mouvements. Le PS espère être mieux loti qu’en 2022 après les bons scores de Raphaël Glucksmann dans le département.
Loïc Prud’homme, Alain David et Nicolas Thierry lors de leurs voeux communs en janvier 2024 Photo : SB/Rue89 Bordeaux
Le Front populaire version 2024 fera-t-il mieux que la Nupes en 2022, condition sine qua non pour empêcher une victoire du Rassemblement national ? Il y a deux ans, la Nouvelle union populaire, écologiste et sociale avait décroché aux élections législatives 151 sièges en France, dont trois en Gironde.
Un accord entre les différentes formations politiques qui la composent – PS, PC, écologistes, France insoumise, plus Génération.s et Place publique (même si son leader Raphaël Glucksmann a émis des réserves) –, a été obtenu en un temps record lundi soir, dès le lendemain de la dissolution.
S’il leur reste à s’entendre sur le programme des 100 jours – dont l’annulation de la réforme des retraites devrait être un point clé –, c’est surtout la distribution des circonscriptions qui pourrait gripper la machine.
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