6 ans moins 3 jours après avoir été mutilé par l’explosion d’une grenade GLI-F4 qu’il tentait de ramasser place Pey-Berland lors de l’acte 4 des Gilets jaunes, Antoine Boudinet continue de se battre pour obtenir justice. L’ancien conseiller municipal Bordeaux en luttes (élu en 2020, il a démissionné en 2022) a été entendu ce jeudi 5 décembre par la cour d’appel de Bordeaux, qui doit se prononcer sur la réouverture de son dossier.
En 2019, malgré le classement sans suite de sa plainte après une enquête de l’IGPN, la police des polices, le parquet général de Bordeaux avait lancé une instruction pour « mutilation volontaire », qui a donné lieu à une ordonnance de non-lieu le 12 mai 2022. Son avocat, Jean-François Blanco, a plaidé devant la chambre d’instruction de la cour d’appel pour réformer cette ordonnance, et que l’information judiciaire reprenne.
Lisez la suite pour 1€
En profitant de notre offre d’essai, résiliable en ligne à tout moment.
Pour accéder à cet article, il faut être abonné. Pourquoi ?
Les informations exclusives, les enquêtes et certains reportages constituent l’édition abonnés de Rue89 Bordeaux. En tant que média indépendant, nos ressources proviennent de nos lectrices et lecteurs abonnés, aucun milliardaire ni groupe bancaire ne nous finance.
Nous demandons à nos lecteurs une faible contribution pour disposer à Bordeaux d’un média critique des pouvoirs, capable d’enquêter et de traiter les enjeux locaux en profondeur et dans la durée.
Chaque abonnement compte. Toutes nos recettes sont investies dans un journalisme local indépendant, dont la force et la réactivité dépend directement du nombre d’abonnés actifs.
Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous
Chargement des commentaires…