Ce mardi 13 mai, les magistrats de la cour d’appel de Bordeaux ont réexaminé les faits survenus le 22 septembre 2023, journée durant laquelle Myriam Eckert a été interpellée et placée en garde à vue pour outrage et refus d’obtempérer, selon la version policière.
Relaxée en première instance le 15 avril 2024, la conseillère municipale (Bordeaux en luttes) comparaît de nouveau après que le ministère public ait fait appel, uniquement pour la qualification d’outrage. Tous les faits, y compris le refus d’obtempérer et le refus de prise d’empreintes et d’ADN en garde à vue, sont toutefois à nouveau examinés par la cour.
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