La première aura lieu le 1er février à Bordeaux, sans doute à l’Athénée Municipal, sur le thème « Organisation de l’Etat et des services publics ». La deuxième se tiendra le 7 février au Carré de Saint-Médard-en-Jalles, sur « Fiscalité et dépenses publiques ». Carbon-Blanc accueillera la troisième (dans un lieu encore indéterminé) le 23 février sur « Démocratie et citoyenneté », et Talence la dernière le 5 mars sur « Transition écologique ».
« Observateurs »
Si parlementaires et élus de la Métropole sont invités à y prendre part, ils devraient avoir un simple statut d’observateur, et la parole laissée aux citoyens, indique ce vendredi Alain Juppé.
« Vu la cote qu’ont les élus actuellement, il serait maladroit de leur part de se poser en organisateur, relève le maire de Bordeaux. Je serai pour ma part présent en tant que facilitateur et transmetteur, lorsque la synthèse sera remontée à qui de droit ».
Lors du point presse préalable au conseil de métropole, son président souligne que la tenue de ces débats « devrait être une bonne raisons d’arrêter des manifestations qui ne riment plus à rien » », et dont les dégâts (notamment sur le réseau de tram et le mobilier urbain) s’élèvent désormais à plus de 2 millions d’euros pour la Ville de Bordeaux.
Parallèlement à l’initiative métropolitaine, d’autres communes ont ou vont organiser leurs propres réunion, également dans le cadre du Grand Débat : Carbon-Blanc (déjà) ce samedi 26 janvier, Mérignac le 28 janvier, Floirac le 9 février…
