Quand manger local et bio n’est plus réservé aux bobos
Le bien-manger laisse-t-il les plus modestes de côté, les bocaux et aliments frais locaux étant l’apanage de privilégiés ? Présentés comme un modèle de consommation écologique et économique, ces produits sains et verts sont aussi plus chers et peinent à séduire les foyers les plus modestes. Aussi, des coopératives, groupements d’achats et épiceries solidaires ou zéro-déchet, qui essaiment dans la métropole bordelaise, tentent de les mettre à portée de tous. Avec quelques succès dont les élus bordelais veulent s’inspirer, mais non sans difficulté.
Chargement des commentaires…