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Extrême droite
Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Le Cercle est un lieu essentiel de la vie locale : commentez, réagissez, et construisez avec nous l’actualité.
En solidarité avec les camarades d’ E R
Voir plusDe mon côté, j’ apporte ma modeste contribution à l’ équité en appliquant le tires payant , en accueillant 80 % de patients vulnérables et en privilégiant les actes préventifs en psychiatrie …ainsi que le travail de secteur et la collégialité
La Gironde s’enfonce : un encours de dette de 1,37 milliard d’euros, +90 % en cinq ans, un déficit réel de 112 M€ en fonctionnement, seulement 5 M€ d’excédent en investissement, et un gouffre consolidé de 102 M€. La CRC démonte point par point les illusions budgétaires du Département : prévisions fantaisistes, factures « oubliées », réalités maquillées.
Et maintenant, un plan de redressement brutal : coupes massives dans les politiques sociales, rabot sur les associations, baisse du train de vie, économies de 30 M€ sur les publics les plus fragiles.
Mais le plus sidérant n’est même plus la crise : c’est l’attitude de ceux qui l’ont laissée exploser. Alors que la CRC déroule un tableau accablant, Jean-Luc Gleyze et Corinne Martinez continuent d’agir comme si tout cela n’était qu’un simple contretemps comptable. Pas un mot sur leur responsabilité politique, pas un geste, pas même l’esquisse d’un retrait.
La Gironde encaisse la tempête ; ses dirigeants socialo communiste verts Lfistes, eux, restent cramponnés au gouvernail comme si le naufrage n’était qu’une « perturbation passagère ». On atteint un niveau d’aveuglement qui frôle l’indécence — et ce sont les habitants, pas les élus, qui paieront la note.
Voir plusLes propos rapportés par son ancien ami ne constituent pas nécessairement une vérité objective. Ils reflètent avant tout sa perception personnelle, qui peut être sincère mais qui n’en demeure pas moins subjective. Rien ne permet d’affirmer que l’état émotionnel qu’il décrit correspond exactement à la réalité ni qu’il éclaire de manière fiable les faits en question.
Par ailleurs, il ne suffit pas d’évoquer une fragilité ou un mal-être pour en déduire la cohérence ou la véracité d’un témoignage. Une émotion forte, qu’elle soit réelle ou interprétée, ne prouve pas qu’un récit est exact, ni qu’il ne comporte pas d’exagérations, d’erreurs ou de projections.
C’est précisément pour cette raison que la justice a tranché, après avoir examiné les éléments objectifs du dossier, confronté les versions et appliqué la loi. Ce jugement a été rendu au nom du peuple français, conformément au principe fondamental de la justice républicaine : décider selon les faits, les preuves et le droit, et non selon les impressions ou les ressentis.
Ainsi, ce n’est ni l’émotion ni les témoignages isolés qui font autorité, mais bien la décision de la Cour, seule légitime à établir la vérité judiciaire.
Voir plusEn solidarité avec les camarades d’ E R
De mon côté, j’ apporte ma modeste contribution à l’ équité en appliquant le tires payant , en accueillant 80 % de patients vulnérables et en privilégiant les actes préventifs en psychiatrie …ainsi que le travail de secteur et la collégialité
La Gironde s’enfonce : un encours de dette de 1,37 milliard d’euros, +90 % en cinq ans, un déficit réel de 112 M€ en fonctionnement, seulement 5 M€ d’excédent en investissement, et un gouffre consolidé de 102 M€. La CRC démonte point par point les illusions budgétaires du Département : prévisions fantaisistes, factures « oubliées », réalités maquillées.
Et maintenant, un plan de redressement brutal : coupes massives dans les politiques sociales, rabot sur les associations, baisse du train de vie, économies de 30 M€ sur les publics les plus fragiles.
Mais le plus sidérant n’est même plus la crise : c’est l’attitude de ceux qui l’ont laissée exploser. Alors que la CRC déroule un tableau accablant, Jean-Luc Gleyze et Corinne Martinez continuent d’agir comme si tout cela n’était qu’un simple contretemps comptable. Pas un mot sur leur responsabilité politique, pas un geste, pas même l’esquisse d’un retrait.
La Gironde encaisse la tempête ; ses dirigeants socialo communiste verts Lfistes, eux, restent cramponnés au gouvernail comme si le naufrage n’était qu’une « perturbation passagère ». On atteint un niveau d’aveuglement qui frôle l’indécence — et ce sont les habitants, pas les élus, qui paieront la note.
Les propos rapportés par son ancien ami ne constituent pas nécessairement une vérité objective. Ils reflètent avant tout sa perception personnelle, qui peut être sincère mais qui n’en demeure pas moins subjective. Rien ne permet d’affirmer que l’état émotionnel qu’il décrit correspond exactement à la réalité ni qu’il éclaire de manière fiable les faits en question.
Par ailleurs, il ne suffit pas d’évoquer une fragilité ou un mal-être pour en déduire la cohérence ou la véracité d’un témoignage. Une émotion forte, qu’elle soit réelle ou interprétée, ne prouve pas qu’un récit est exact, ni qu’il ne comporte pas d’exagérations, d’erreurs ou de projections.
C’est précisément pour cette raison que la justice a tranché, après avoir examiné les éléments objectifs du dossier, confronté les versions et appliqué la loi. Ce jugement a été rendu au nom du peuple français, conformément au principe fondamental de la justice républicaine : décider selon les faits, les preuves et le droit, et non selon les impressions ou les ressentis.
Ainsi, ce n’est ni l’émotion ni les témoignages isolés qui font autorité, mais bien la décision de la Cour, seule légitime à établir la vérité judiciaire.