
Photo : WS/Rue89 Bordeaux
Dossier
Pour Gaza, le Bordeaux qui boycotte Israël
Bordeaux défend son jumelage avec Ashdod et prépare une « interpellation » de son maire sur la situation à Gaza
La majorité de Pierre Hurmic a été, à plusieurs reprises, sommée de suspendre le jumelage entre Bordeaux et la ville israélienne d’Ashdod, notamment depuis le début de la guerre à Gaza. Jusqu’ici, l’exécutif bordelais a rejeté ces demandes. Il entend interpeller le maire de la ville israélienne, alors que l'actualité récente met en lumière le rôle stratégique joué par le port de la ville dans le conflit. Quatrième volet de notre dossier "Pour Gaza, le Bordeaux qui boycotte Israël".

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Bordeaux, nouveau bastion de l’extrême-droite française ?
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Enfin une décision de bon sens !
Je me réjouis du maintien de la piste secondaire à l’aéroport de Bordeaux-Mérignac. Il était temps que l’État tienne bon face aux incantations dogmatiques des Verts bordelais et autres pseudo-écologistes de Pessac ou Talence, plus préoccupés par le bruit médiatique que par la réalité technique et stratégique.
Qu’on le veuille ou non, cette piste sécante est essentielle : sécurité, continuité d’exploitation, et capacité d’accueil en cas de crise – comme on l’a vu lors des incendies de 2022. Les Canadairs ne décollent pas sur des promesses électorales.
Quant aux maires qui mènent ce combat bruyant, qu’ils assument leur posture politicienne : chacun aura noté que leur vraie obsession, c’est mars 2026, pas l’intérêt général. Leur indignation n’est que le prélude d’une campagne. On les entend moins quand il s’agit de défendre des projets structurants ou de faire avancer réellement la transition des mobilités.
Le vrai courage politique, c’est d’assumer la complexité des choix, pas de surfer sur les émotions des riverains au mépris des enjeux de long terme. Alors oui, pour une fois, merci à l’État d’avoir résisté au vent mauvais du clientélisme local.
Voir plusEncore un grand moment de vitriol pseudo-politique qui donne l’impression de dénoncer le système alors qu’il recycle, à coup de sarcasmes lassants et de raccourcis commodes, tous les poncifs d’une critique sans plan de vol.
Voir plusQuand on lui parle de suspendre, cette équipe municipale entend arrêter !
Suggestion pour une interpellation formelle : on *suspend* toute collaboration avec l’Israël – le risque serait que les citoyens vous associent à des « collabos »…
Voir plusEnfin une décision de bon sens !
Je me réjouis du maintien de la piste secondaire à l’aéroport de Bordeaux-Mérignac. Il était temps que l’État tienne bon face aux incantations dogmatiques des Verts bordelais et autres pseudo-écologistes de Pessac ou Talence, plus préoccupés par le bruit médiatique que par la réalité technique et stratégique.
Qu’on le veuille ou non, cette piste sécante est essentielle : sécurité, continuité d’exploitation, et capacité d’accueil en cas de crise – comme on l’a vu lors des incendies de 2022. Les Canadairs ne décollent pas sur des promesses électorales.
Quant aux maires qui mènent ce combat bruyant, qu’ils assument leur posture politicienne : chacun aura noté que leur vraie obsession, c’est mars 2026, pas l’intérêt général. Leur indignation n’est que le prélude d’une campagne. On les entend moins quand il s’agit de défendre des projets structurants ou de faire avancer réellement la transition des mobilités.
Le vrai courage politique, c’est d’assumer la complexité des choix, pas de surfer sur les émotions des riverains au mépris des enjeux de long terme. Alors oui, pour une fois, merci à l’État d’avoir résisté au vent mauvais du clientélisme local.
Encore un grand moment de vitriol pseudo-politique qui donne l’impression de dénoncer le système alors qu’il recycle, à coup de sarcasmes lassants et de raccourcis commodes, tous les poncifs d’une critique sans plan de vol.
Quand on lui parle de suspendre, cette équipe municipale entend arrêter !
Suggestion pour une interpellation formelle : on *suspend* toute collaboration avec l’Israël – le risque serait que les citoyens vous associent à des « collabos »…